Questionner l’existence

Cercle Spirite Allan Kardec

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Questionner l’existence


Éclairant les grandes questions existentielles de l’être humain sur l’origine et le sens de la vie, le spiritisme répond à l’essence même du message humaniste et propose une formule de partage, de liberté, et d’émancipation pour tous les êtres humains, tous les peuples sans distinction.

Champ inépuisable de réflexion, la philosophie spirite découle de la manifestation des esprits et apporte des réponses aux questions existentielles du sens de la vie, de son origine et de la place de l’être humain dans la société.

Le spiritisme résulte de l’enseignement de milliers de communications avec des personnes décédées appelées esprits. Domaine d’expérimentation depuis les années 1850, il est basé sur l’observation et l’analyse des manifestations produites par ces esprits, par l’intermédiaire de personnes ayant une sensibilité particulière appelées médiums.

Le souhait universel des esprits est que chaque être humain évolue intellectuellement, moralement et spirituellement tout en participant à la transformation progressive de l’humanité.

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« Ne souffrant d’aucune sorte de dogme ni de rite initiatique, le spiritisme s’adresse à tous les Hommes avides de connaissance et d’émancipation morale et intellectuelle »

Extrait de message spirite d’Allan Kardec (Mars 1985)

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Décrypter des phénomènes inexpliqués Le spiritisme se définit comme une science d’observation, s’intéressant aux phénomènes inexpliqués et délaissés par la science matérialiste, dans une réelle démarche d’analyse à caractère scientifique.Démystifiant les mécanismes de la vie et de la mort, de l’existence de l’esprit et de sa destinée, des interactions entre le monde des morts et le monde des vivants, le spiritisme traite de la nature, de l’origine, et de la destinée des esprits, ainsi que leurs rapports avec le monde matériel.Du milieu du 19e siècle jusqu’aux années 30, de nombreux scientifiques ont étudié minutieusement les phénomènes spirites, apportant les preuves de l’existence de l’esprit au-delà de la matière par multiples expériences, sous couvert de protocoles expérimentaux rigoureux.La somme de tous ces enseignements a permis d’approfondir les lois spirites quant aux facultés psychiques et phénomènes médiumniques, apportant un éclairage inédit sur la capacité des esprits, l’impact de la force pensée, et les possibles contacts avec les esprits désincarnés.
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Un changement d’état Que deviennent les décédés une fois que le voile de la mort a éteint le dynamisme de la vie ? Où sont passés nos proches et ceux que nous avons tant aimés ?Celles et ceux que nous avons aimés, à qui nous continuons de penser, peuvent nous entendre, nous comprendre, nous suivre, et parfois peuvent sans doute nous faire des signes. Peu importe la manière qui dépend surtout des circonstances et leur latitude à se manifester, c’est leur façon à eux de nous interpeller.Beaucoup quittent leur corps et passent le tunnel de lumière, rejoignant cet au-delà à la rencontre de leurs amours passées ou présents. Ils continuent d’apprendre dans leur nouvel état afin poursuivre leur chemin d’évolution. Ils peuvent alors avoir envie de dire ce qu’ils pensent et ce qu’ils découvrent, manifestant leur enthousiasme à affirmer leur survivance et que tout continue malgré l’absence et la séparation physique.
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Percevoir au-delà

La médiumnité est une sensibilité exacerbée qui permet à certaines personnes appelées médiums d’être réceptifs aux manifestations des esprits et d’en être les intermédiaires

A partir des enseignements du spiritisme et selon l’expérience acquise au sein de notre structure, nous distinguons trois grandes catégories essentielles en médiumnité permettant un effet intelligent : les médiumnités intuitives ou semi-automatiques, les médiumnités par automatismes, et les médiumnités faisant intervenir un phénomène de transe.

Aucune échelle de valeurs n’est établie entre toutes ces formes de médiumnité, car tout mode de communication, s’il est correctement développé et pratiqué, permet aux esprits de s’exprimer et d’apporter des informations dans la richesse et la complémentarité entre ces différentes facultés.

La diversité des médiumnités est alors un avantage, permettant aux esprits d’utiliser tous les modes possibles de l’expression humaine, tels la parole et le geste, l’écriture, le dessin, la peinture, la sculpture, la musique.

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Renaître encore Parmi les principes fondamentaux de la pensée spirite, la réincarnation correspond à l’addition d’expériences de vie différentes et nécessaires au développement de la morale et de l’intellect de chaque individu.La réincarnation répond à une évolution positive de l’esprit. Au fil de nos vies successives sur de multiples mondes habités d’évolutions différentes, l’âme se transforme alors progressivement et évolue en connaissance et en moralité. Chaque vie est une nouvelle expérience qui nous met au contact de nos semblables, celles et ceux que nous avons connus antérieurement ou non.Chaque vie est ainsi l’apprentissage de choses nouvelles, faite de réalisations différentes à atteindre, confrontant l’être à de multiples expériences dans le contexte d’une société, d’une culture, ou d’une civilisation.
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« Naître, mourir, renaître encore, et progresser sans cesse, telle est la loi. »

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Allan Kardec

Un mouvement structuré

Notre cercle s’inscrit dans la continuité évolutive du mouvement spirite, fondé par Allan Kardec en 1858, et poursuit les expériences de communications avec les esprits, assurant le renouveau d’un propos actualisé à la lumière des esprits.

L’histoire du Cercle Spirite Allan Kardec débute en 1974. Il est un organisme à but non lucratif (loi 1901) représenté aujourd’hui à Nancy, Paris, Besançon, Belfort, Montpellier-Béziers, Toulouse, et Lyon.

Disposant d’une structure appropriée et expérimentée, la mission principale de l’association est de promouvoir la diffusion de la pensée spirite au travers de livres, d’une revue trimestrielle “Le Journal Spirite”, d’événements proposés au public (conférences, forums, expositions, etc). Les membres adhérents sont des bénévoles issus de tout milieu, ayant le désir d’apprendre, d’étendre leurs connaissances, de participer à ce renouveau spirite, et de répondre par un engagement sincère et volontaire aux buts que s’est fixée l’association.

ARTIGO VISTO EM: https://www.spiritisme.com/spiritisme

Resumo da doutrina espírita – meu pai

Uma comunicação mediúnica de meu pai, um tesouro bem guardado que agora dou a conhecer

É tempo oportuno para que eu revele um documento que durante toda a vida de minha mãe foi sendo conservado naquela reserva oculta das coisas preciosamente difíceis de mostrar à luz aberta da convivência. Por muitas razões de pudor sentimental mas, essencialmente, porque era objecto que despertava o eco de um enormíssimo desgosto: o falecimento de meu pai, a 15 de Dezembro de 1949.  Esclareço igualmente que os papéis desta comunicação permaneceram guardados pela minha mãe junto das suas mais íntimas recordações, e que só me chegou às mãos quando adoeceu gravemente há cerca de 16 anos atrás.
A comunicação mediúnica de meu pai foi efectuada logo no dia 7 de Fevereiro de 1950 e foi facilitada pelo facto de a família se encontrar, desde os anos vinte do século anterior, intimamente relacionada com a cultura espírita.

Um documento com substância de verdade, cultura própria e informações concretas

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Vai a abrir o texto completo, transcrito com pequenas reticficações formais, a partir daquele que foi escrito pela minha mãe de forma rápida, na sua bonita caligrafia, para mim tão familiar.

(Nota: as comunicações mediúnicas são muitas vezes vividas sob forte emoção e não há nenhum aparelho capaz de registá-las automaticamente sem vacilações ou gralhas, fáceis de corrigir com razão e boa fé, em análise posterior.)

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Faço seguidamente os considerandos apreciativos da comunicação e comentários respectivos, frase por frase. Peço às visitas o favor de lerem esses comentários, pois são eles, com efeito, o principal do que tenho para dizer-vos.
Encerro com as imagens digitalizadas dos textos originais, redigidos sobre velhas folhitas de escola primária, com caneta permanente de tinta azul escurecida pelo tempo.

 
Texto da comunicação mediúnica de meu pai

Em 7 de Fevereiro de 1950

Oremos e meditemos!
Pequeníssimo qual verme no mundo vivente, arrebatado de devotamento e veneração, curvo-me ante mim mesmo e digo: Não sou digno. Não sou digno de ser ouvido pelo que deixei no mundo! Não… não mereço ser perdoado nesta enorme falta que tão ousado cometi! – não respondi à verdade que em grandes letras se revelava à minha compreensão, tão sonante como verbal e audível, tão sincera e imponente como os trovões anunciando a tempestade; Se não nos prepararmos nos naufrágios da vida exterior para gozar no interior da consciência à sombra do dever cumprido!
Que palpitante ensino para o rebelde que fui…! Oremos pois. Que Deus seja louvado!
O choque!… fez sofrer a minha pessoa quando já ausente do corpo… sofrer tão merecido como violenta a separação dele!!!
Ah!… Fora do mundo… homem cheio de esperanças… nessa pobre e misérrima vida, se é que vida se lhe pode chamar em comparação à que a mim, principiante, vejo desdobrar-se tão cheia e surpreendente, como se de cinco anos em ignota aldeia vivido, entrasse em luzente capital de rico império!…
A cada momento novas e fulgurantes vistas com panoramas de recreativa beleza se manifestam em face do meu frouxo entendimento! Até me sinto esquecer a vida própria!
Parece-me que vida é mais o que eu vejo do que eu mesmo! Esta fulguração de vidas, de sóis que são as almas na fusão das suas compreensões em se chocar, que vibram brilho e amor!
Choro comoções tão chocantes, sentimentos de formosa cordialidade. Mas eu embasbacado pergunto aos amigos porque tão cedo viria para o além?
Empregado subalterno aqui… notai, mas que mal pode ser comparado aí!
O que eu sinto aqui é mui superior ao que aí se sente nas mais favoráveis condições da vida.
Aquele choque tão brutalmente violento, fora nem mais nem menos o reflexo da minha negação ao chamamento que tão veraz sentia!
Arremessado para a verdade eterna afora o corpo por este servir de estorvo àquilo com que Deus quer mimosear-nos dentro dele!
Ouçamos esta voz aí para não haver esses desastres, essa forma tão chocante para nós todos! Ouçamos meigamente e à sombra do dever cumprido deixem o coração emocionar-se a favor dos destituídos desse sentimento. Desde que daí parti é este o meu mais belo momento!!
Estou a engrandecer esta pobre personalidade baseando-a no desejo de a alguém ser útil com a lição que me custou a vida e o amor espezinhado de minha mãe que tão baldadamente aos pés me expôs ; custou-me o amor da esposa suspirosa que não teve o adeus fatal!!!
Ah!… Perdoem-me… não posso falar ainda na terceira pessoa! Não me é permitido por uma grande entidade a qual me fez portador desta mensagem, como já disse, enchendo-me de regozijo por tal favor.
Entregue nas mãos de quem lhe dá passagem
para quem queira…
Bendito seja Deus receber…

 
 
 
Alguns comentários:
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A mensagem dos espíritos captada por um médium não é como um relatório técnico ou como um despacho de agência noticiosa. É uma revelação ditada com energia amplificada do pensamento, conceitos que muitas vezes as palavras não traduzem de modo integral. É necessário saber isso e sentir a mensagem dessa tal forma subjectiva e amplificante, sem a pequenez duma análise estrita.

Palavra por palavra, frase por frase, contudo, a comunicação do meu querido pai concentra na sua reduzida dimensão um conjunto de qualidades positivas, abre perspectivas muito belas sobre a vida depois da morte, além de ser, no meu entender, muito elegante no sentido literário e ainda plenamente fiel ao rigor da doutrina espírita.

A intuição da minha mãe acrescentou, sem nenhum preconceito literário mas com grande perceção sensível, uma pontuação exclamativa abundante. Conhecendo como conheci as pessoas que estiveram presentes na sessão espírita em questão e, muito em particular, a personalidade do médium, minha tia Augusta, tenho a consciência de que a sua convicta determinação anímica incluía uma enorme dose de afirmação espiritual. Donde, a abundância de acentuações exclamativas, intercalado o discurso aqui e ali por reticências, que devem ter correspondido a pausas meditativas na intensidade da mensagem.

 
Oremos e meditemos!

Estas são as duas palavras iniciais, preciosas na sua riqueza de proposta construtiva dos valores da atitude espiritual e da predisposição intelectual:
Oremos todos, pois, e meditemos sempre em cada momento da nossa vida: o convite é como um alerta e um voto, uma determinação da vontade:”… progredir e evoluir sem cessar, tal é a lei…”
Surge logo depois o sentimento de modéstia da sua própria pessoa, das suas limitações naturais:

“…Pequeníssimo qual verme no mundo vivente, arrebatado de devotamento e veneração, curvo-me ante mim mesmo e digo: Não sou digno….”

Tal modéstia e o sentido da autocrítica são uma tradução do rigor de obediência aos princípios essenciais da evolução pela aprendizagem, pela expiação e pelas provas de que este mundo nosso é cenário organizado e propício.
Convém esclarecer que meu pai, embora tivesse vivido num ambiente muito mais próximo da verdadeira pobreza do que da humildade remediada, tinha sido bafejado pelo convívio com pessoas de alto padrão moral, integridade de procedimentos e, mais do que isso, ilustradas com o conhecimento da doutrina dos espíritos. Daí o seu sentimento de culpa de não ter cumprido integralmente a sua tarefa.

“…Não sou digno de ser ouvido pelos que deixei no mundo! Não… não mereço ser perdoado nesta enorme falta que tão ousado cometi! – não respondi à verdade que em grandes letras se revelava à minha compreensão…”
“…Que palpitante ensino para o rebelde que fui… o José da Costa Brites! Oremos pois. Deus seja pois louvado!…”



A sinceridade de tais palavras, o profundo sentimento que as anima, nenhum relator – por muito sensibilizado e intelectualmente centrado que fosse – poderia construí-las artificialmente.
A referência explícita ao nome próprio, que não sei se é elemento frequente neste tipo de comunicações, pode aqui ser talvez entendida pela data muito recente da passagem à imaterialidade.
O relacionamento que faço tem a ver com a inflexão do discurso, que agora se centra na ocorrência do acidente, sofrido há menos de dois meses:

“…O choque!… fez sofrer a minha pessoa quando já ausente do corpo… sofrer tão merecido como violenta a separação dele!!! Ah!… fora do mundo o homem cheio de esperanças…”

Vêm de seguida breves mas muito elucidativas visões e percepções qualitativas do além:

“… nessa pobre e misérrima vida, se é que vida se lhe pode chamar em comparação à que a mim, principiante, vejo desdobrar-se tão cheia e surpreendente, como se de cinco anos em ignota aldeia vivido, entrasse em luzente capital de rico império!… A cada momento, novas e fulgurantes vistas com panoramas de recreativa beleza se manifestam em face do meu frouxo entendimento! Até me sinto esquecer a vida própria!…”

Esta “visão do céu” associo eu a uma quantidade de narrativas feitas do além por intermédio de outros espíritos que eu considero privilegiados do ponto de vista cultural e sensitivo. Que o meu querido pai tenha tido a possibilidade e as condições de – em tão pouca quantia de palavras – fazer uma “descrição” tão condizente com esse outros textos, tão empolgada e empolgante, é coisa que me causa uma espantosa admiração e uma enormíssima felicidade.

A abertura de alma prossegue, no teor que pode ser analisado na sua totalidade no texto completo, numa linguagem sintética e ao mesmo tempo poeticamente comovida:

“…Choro comoções tão chocantes, sentimentos de formosa cordialidade!…”

A pergunta que formula logo a seguir parece-me de uma extraordinária importância para que avaliemos o contexto espiritual em que se desenvolve a corrente dos sentimentos expressos: o meu pai faz-nos saber, pela forma como exprime o sentido da pergunta, que se encontra acompanhado por amigos, logo, num clima de favorável acolhimento, propício a que coloque questões relativas à violenta surpresa que teve de suportar, no momento do acidente que o vitimou:

“…mas eu embasbacado pergunto aos amigos porque tão cedo viria para o além?…”

A conclusão tirada oferece-me uma visão positiva das circunstâncias que rodeavam meu pai, do ponto de vista da sua situação e do clima que o acolheu. E prossegue na descrição do ambiente celestial que o rodeia, em termos inequívocos:

“… Empregado subalterno aqui… notai… mas que mal pode ser comparado aí!. O que eu sinto aqui é mui superior ao que aí se sente nas mais favoráveis condições de vida…”

Será talvez adequado referir que a vida do meu pai sempre foi de grande modéstia,  sendo tão órfão que jamais conhecera o pai (falecido por doença em Moçambique para onde emigrara na busca de melhores condições de vida seguindo as passadas de seu pai – meu bisavô – o qual ali tinha vivido antes).
Era motorista de profissão e sua mãe, minha avó, vivia dos recursos da terra e o acidente mortal de viação que o vitimou ocorreu nas imediações de Coimbra.

“…Aquele choque tão brutalmente violento fora nem mais nem menos o reflexo da minha negação ao chamamento que tão veraz sentia…”
“…Arremessado para a verdade eterna afora o corpo por este servir de estorvo àquilo que Deus quer mimosear-nos dentro dele! Ouçamos essa voz aí para não haver esses desastres, essa forma tão chocante para nós todos…”

Esta última frase ressoa em mim como um queixume, um condoído desabafo pelas condições incautas em que circulavam os motoristas nas estradas portuguesas. Meu pai, seguindo na sua mão, foi colhido de frente por uma camioneta que ultrapassava fora de mão um carro de bois, a seguir a uma curva. Ao impacto de frente somou-se o efeito – que lhe foi fatal – do impacto da carga que seguiam amontoada atrás do motorista, sem qualquer protecção. Meu pai foi por isso esmagado pelo peso de encontro ao volante e tinha a clara noção disso.
Só depois do seu falecimento a empresa, de que minha mãe recebeu durante alguns anos uma misérrima pensão sem sentido, se resolveu a colocar uma barreira entre as cargas e os motoristas que as transportavam.
E continua:

“…Oiçamos meigamente e à sombra do dever cumprido deixem o coração emocionar-se a favor dos destituídos desse sentimento…”

Este chamado comovente e este apelo à comoção é, não nos iludamos, feito de uma forma que nada tem de um superficial apelo caritativo imediatista ou simbólico. O nosso coração deve emocionar-se a favor daqueles que não são providos do sentimento de seguirem a obediência aos chamamentos, como o que o meu pai “tão veraz sentia”, “à sombra do dever cumprido”!…

A frase que convida à emoção foi adoptada pela minha avó, e algumas vezes a ouvi meigamente sentenciar:

– “Deixem o coração emocionar-se!…”

Sendo eu portador de uma tão emocionante mensagem, como poderei sentir-me menos que um privilegiado das circunstâncias, alguém que foi favorecido por um testemunho tão vivo e tão intensamente sentido.
O culminar da felicidade espiritual de meu pai e a declaração do seu bem-estar face à nova situação alcançada, tem a sua expressão – com enorme contentamento para mim – na frase seguinte:

“…Desde que daí parti é este o meu mais belo momento!!…”

Refere depois com desgosto e arrependimento algumas das diferenças que teve com sua mãe, escusando-se a verter a mínima crítica das razões pessoais que tivera e que pudessem ser tomadas como desforço ou acinte para com minha avó Cristina. Posso referir isso com segurança, dado que foi matéria muito frequentemente abordada sendo eu criança e meu pai vivo ainda, e aludida mais tarde, em conversas de família. Questões normais do dia a dia, juízos feitos a respeito de atitudes diversas, rigor de princípios, etc.

Quase no fim, contudo, segue-se uma observação fortissimamente comprovativa da autenticidade desta mensagem, pelo que tem de secreto, de conceituosamente subentendido. Disse então meu pai:

“…Ah! …Perdoem-me… não posso ainda falar na terceira pessoa! Não me é permitido por uma grande entidade a qual me fez portador desta mensagem como já disse, enchendo-me de regozijo por tal favor…”

A minha leitura deste trecho da comunicação de meu querido pai, cumula o meu coração de uma infinita ternura e o compromisso do segredo a que foi vinculado cumpriu-o de forma hulmildemente disciplinada, como era timbre da sua personalidade.
Sendo ele a falar na primeira pessoa e sendo naturalmente minha mãe a segunda (a amada “esposa suspirosa que não teve o adeus fatal” – minha mãe, estando distante do hospital onde se encontrava, não assistiu aos últimos momentos de vida de meu pai) é perfeitamente claro que sou eu essa “terceira pessoa”.
Para todas aquelas almas sensíveis que são conhecedoras dos códigos comunicativos vigentes entre espíritos desencarnados e seres ainda materializados como nós, é perfeitamente óbvio que assim é.

Considerando aqueles pormenores de certas comunicações mediúnicas que são como um detalhe revelador da autenticidade das mesmas, é este o momento precioso da comunicação de meu pai que confirma a sua invencível credibilidade:

Não sendo autorizado a mencionar um ser ainda nas primícias da sua infância, eu mesmo, para evitar a mínima interferência na vida que me competia viver, a comunicação de meu pai situa-se integralmente dentro dos critérios de respeito pelas regras e ordenações do plano da criação e desenvolvimento responsável dos humanos!…

E termina, despedindo-se de forma singela, concisa e respeitosíssima perante o Alto:

“…Entregue nas mãos de quem lhe dê passagem… para quem queira… Bendito seja Deus receber…”

Chamo a atenção para o seguinte:

Um certo requinte de linguagem que é usada pelo meu pai não era certamente reflexo de uma aquisição recente ou efeito “celestial”.
Quer a minha avó, quer as minhas tias, embora pessoas muito modestas, usavam esse tipo de linguagem devido essencialmente à sua delicadeza de espírito e à sua capacidade de registar e exprimir emoções. A minha tia Augusta, a que era médium espírita, era uma pessoa de sensibilidade e dotes intelectuais muito invulgares.
Certo é, evidentemente, que meu pai era uma pessoa muito meigo de carácter, que se exprimia com correcção e elegância.

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Lendo repetidas vezes este belíssimo conjunto de palavras e este vibrante encadeado de ideias, sinto-me reforçado na minha condição por um inquebrantável feixe de energias positivas e verdades tão claras que não necessito de provas factualmente comprováveis da sua autenticidade. Elas são por si, e na sua natureza íntima, o garante mais sólido da consoladora verdade, da luz inspiradora e da vida eterna!

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O que partilhei aqui convosco no dia de hoje não foi uma notícia lida num jornal, não foi um “post” copiado na internet num site apetecível. Foi um pedaço precioso de vida experimentado e vivido, de olhos postos no além, indicação da nossa marcha evolutiva, com todos os sentidos do corpo e do espírito postos na magnânima omnipotência de Deus, nosso Criador.
 
 
 
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Fins de Novembro de 2011
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João Donha e a tradução para português de “O Livro dos Espíritos”, de Allan Kardec

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João Donha – Professor de Português e de História, poeta, escritor e notável estudioso e divulgador espírita de Curitiba, Paraná – Brasil

João Donha - Espiritismo Esta fotografia mostra o cabeçalho do blogue “João Donha – espiritismo” e representa o seu autor, já há alguns anos evidentemente, à entrada da “Passage de Ste. Anne”, em Paris, designação que em português se poderia traduzir como “Galeria de Santa Ana”. Como curiosidade, antes de termos começado a dedicar-nos integralmente à investigação da cultura espírita, estivemos um tempo em Paris, de visita a um filho que ali se encontrava. Movidos por qualquer espécie de intuição, visitámos demoradamente toda esta área histórica da cidade, incluindo, evidentemente o interessantíssimo e muito conhecido espaço do Palais Royal. Na altura não tínhamos a noção exacta, como agora, de que ali trabalhara tão afincada e generosamente Hipólito Leão Denisard Rivail, na produção da grande obra que mais tarde iríamos ler, estudar e traduzir!...
Para ter acesso a “João Donha – espiritismo”, um blogue muito rico de conteúdos de pensamento e cultura espírita, é favor clicar na imagem.


A seguir o comentário do professor João Donha, conforme foi publicado no já mencionado blogue de sua autoria:

PRIMEIRA (E ÚNICA) TRADUÇÃO PORTUGUESA DO LIVRO DOS ESPÍRITOS


A primeira tradução para a língua portuguesa de um livro de Allan Kardec foi feita em 1862, pelo francês Alexandre Canu, secretário nas sessões da Societé Spirite. Trata-se do “O Espiritismo em sua mais simples expressão”, publicado em Paris pelo editor autorizado pelas duas coroas, brasileira e portuguesa, que bastante influenciou a entrada do espiritismo no Rio de Janeiro, segundo o próprio Kardec.
Depois disso, iniciaram-se as traduções das obras de Kardec para o português feitas por brasileiros e lançadas no Brasil.
Posteriormente, edições dessas traduções passaram a ser feitas também em Portugal, com as costumeiras adaptações quanto às peculiaridades regionais do idioma. Adaptações feitas em toda a literatura. Só o Saramago não permitiu; por isso, suas obras são lidas no Brasil tal como escritas em Portugal.
Mas essa lacuna (a falta de uma tradução para o português de Portugal das obras de Kardec) começa agora a ser suprida pelo casal José da Costa Brites e Maria da Conceição Brites, com a publicação de “O Livro dos Espíritos”.
Eu disse “começa”, porque o desafio é lançado, a ser cumprido por eles ou por outros, para que a tradução das demais obras de Kardec também se faça ao som da beleza original do nosso idioma, “última flor do Lácio, inculta e bela” como lembra Olavo Bilac em seu imortal soneto.

E, podemos dizê-lo sem medo de exageros, lacuna preenchida de forma brilhante. Costa Brites e Maria da Conceição (ou, simplesmente São, como ela simpaticamente se coloca numa rede social) têm um excelente domínio do francês e perfeita consciência da dinâmica histórica a influenciar constantemente uma língua, de forma que, não fizeram apenas uma tradução para o português: fizeram uma tradução para o Século XXI. O cuidado com a expressão correta, clara e precisa dos conceitos transmitidos nesta obra (que se insere no rol das grandes obras sintetizadoras da cultura ocidental) norteou seu trabalho. Um elucidativo, instigador e inteligente prefácio, somado às oportunas “Notas Finais” (que são referenciadas ao longo do texto em negrito e entre colchetes), tornam a leitura desta tradução perfeitamente digerível pelo iniciante no conhecimento espírita e, imprescindível para o estudioso aplicado da doutrina.

A proposta de Costa Brites se resume num brado: “OLE – obra viva, obra aberta!” Pois, segundo ele me disse num e-mail: “a cultura espírita, os espíritas, sobretudo aqueles que têm o privilégio de falar com os Espíritos, nunca deveriam ter parado de avançar na pesquisa mediúnica, abrindo cada vez mais o património das informações”. E finaliza com um vibrante e oportuno desafio que, aliás, é também a minha opinião: “quem não estiver de acordo com o nosso trabalho, tem uma proposta antecipada que lhe apresentamos: façam uma tradução para proveito próprio, com todo o empenho e interesse cultural” (…) “No dia em que todos os espíritas tiverem feito uma tradução para seu próprio uso, talvez se tenham dados passos em frente, que nos expliquem de forma consistente ‘a natureza, origem e destino dos Espíritos e as suas relações com o mundo material’, com todas as respetivas facetas e horizontes”.

Enfim, eis a obra. “O Livro dos Espíritos”, Allan Kardec, tradução de José da Costa Brites e Maria da Conceição Brites, Luz da Razão Editora, Portugal, 2017.

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Comentário a este texto inserido por nós no blogue de João Donha :

Caro professor João Donha,

Os autores da tradução de “O Livro dos Espíritos” diretamente do francês original para português da atualidade agradecem reconhecidamente a atenção posta na leitura e na observação cuidadosa do trabalho que fizemos com tanto gosto e interesse proveitoso.
Com efeito, a motivação principal que nos dirigiu foi a de colhermos ensinamentos para nós mesmos, acompanhando todas as fases da tradução com a necessária pesquisa a respeito de todos os temas que mereciam essa atitude.
A intenção última foi a de servir o melhor possível, e simultaneamente, o interesse da cultura espírita e do português de Portugal que aprendemos na escola, na vida e no maravilhoso alento das palavras de nossas Mães.
O resultado mais feliz dessas observações foi o de termos conseguido estabelecer uma construtiva intimidade intelectual com a obra de Allan Kardec e dos ensinamentos dos Espíritos que nos deu a conhecer com tão elevado critério de ordenação metodológica.
Ao autor deste blogue e a todos os seus visitantes as nossas melhores saudações.

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No largo espaço da Internet cabe perfeitamente, e na nossa sensibilidade claramente se justifica, uma breve imagem do que aprendemos a respeito de João Donha. O perfil e as poesias vão inseridas porque valorizam esta página.
Se a Internet não servir para encontrar e conhecer pessoas e enriquecer a nossa visão da vida, para que servirá ela?
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JOÃO ALBERTO VENDRANI DONHA, professor de Português e História, de Curitiba, Paraná, Brasil.
A si mesmo se qualifica como:

Ex-professor eventual de português e história;
ex-quase-escritor;
ex-funcionário de estatal;
… Algumas publicações infanto-juvenis; artigos e poesias em diversos periódicos.
E… nada a “completar”… A não ser o exercício atual de duas profissões não regulamentadas (graças a Deus):
a de “fiscal da natureza”, exercida na rive gauche do rio Cachoeira,
e a de “palpiteiro contumaz”, que pode ser verificada aqui no blog.

PUBLICAÇÕES:
“Os Gatos de Angaetama” (1979, CooEditora; 1985, Criar; 1995, HDLivros).
“Pelos Outros, Pela Gente” (1980, CooEditora).
“O Lambari Comilão” (1985, Criar).
“Brás Brasileiro” (1986, HDV).
“Espaço Agrário” (1980, Vozes).
“Os Desconhecidos” (1979, Beija-Flor).

Quase Poemas

Cb. 19.2.2007

RIO TEMPO

Estou num corpo, que está num barco, que desce um rio.
Saí da fonte para a foz, e estou em meio do caminho.
Para mim, a fonte é o passado e a foz é o futuro.
Se paro ou me volto as coisas se invertem.
Pois a fonte tem águas que ainda não vi,
o que faz que elas sejam o futuro,
enquanto que a foz são águas passadas.
Mesmo quando me movo ao longo do rio,
tendo a fonte como passado, lá estão surgindo novas águas;
portanto, em meu passado surgem novidades.
Mas as novidades não são coisas do futuro?
Se o futuro é a foz, suas águas podem ter passado por mim;
então meu futuro é conhecido, pois é feito de águas passadas.
Oh, meu Deus, minha vida gira como as voltas deste barco,
tendo o passado e o futuro sempre no presente.

9.7.2008

DIONÍSIO E APOLO

Se somos antes de ser; se temos categorias a priori; se somos uma centelha divina; se temos uma consciência prévia dada por Deus, lá no fundo e tal, esta verdade indemonstrável mas irrefutável, me indica que todo o saber é adquirido pela intuição, e a razão só lhe dá forma. Assim foi na fase inicial do conhecimento humano, e assim deve permanecer no desenvolvimento científico. A razão não é capaz de gerar novos conhecimentos, mas, simplesmente conformar o conhecimento intuitivo. É evidente; basta apenas observar que, quanto mais racional é uma pessoal, mais previsível ela é, e quanto mais intuitiva, mais criativa e genial. Isto não só porque a pessoa que se aferra apenas à razão se torna prisioneira da previsibilidade inerente a essa faculdade, mas, também, porque está fugindo à sua verdadeira natureza.
Viver é melhor que conhecer.

22.4.2009

A CIDADE

Sonho com a cidade da minha infância,
com muros baixos e portões abertos,
fechados apenas no mês de cachorro louco.
Agora, os cachorros estão sempre loucos
e saltam aterradores nos quintais,
obrigando todos a terem grades e
muros altos…

3.9.2009

POEMIAS

Eu não sirvo prá amigo,
nem prá companheiro,
muito menos prá correligionário,
aliás, eu não sirvo prá co-
isa nenhuma: sou apenas um indivíduo.
E da minha individualidade
(ou seria individualismo?)
eu não abro mão.

A contradição vivida
é que no exercício da minha
individualidade
(ou seria individualismo?),
eu dou-me o direito
de não ter opinião definida;
tê-la, portanto, dividida.
E o in-divíduo
é algo não divisível.

.1990

ECLESIASTES

Vaidade de vaidades, disse o Eclesiastes.
Que proveito tiras tu, ó trabalhador,
Do trabalho com que sempre te desgastaste
Debaixo do sol, a não ser a tua dor?

O sol nasce todo dia e torna a se por
Uma geração vem, outra geração parte
Por mais que pense não se livra do Criador
Filosofia, religião, ciência e arte.

Na calha do tempo se esvai inveja e amor
Seja puro ou pecador, não ilude a sorte
A tragédia com mais furor atinge o forte.

E por mim, que se dane burro ou pensador
Tudo é vaidade, pois que seja como for
Sábio e insensato encontram a mesma morte.

.2012

EU POETA?

O poeta senta e escreve
Eu apenas sinto e ouço
A sinfonia dos sabiás
Na hora mágica das cinco.
É muita paz e felicidade
Ainda que não sendo, só estando,
Mesmo que não tendo, só amando.

.


PALAVRAS DE JOÃO DONHA
UMA APRESENTAÇÃO LÚCIDA E INTELIGENTE
DA PERSONALIDADE E DO VALOR DO TRABALHO DESENVOLVIDO POR ALLAN KARDEC:

Da cultura da Grécia antiga a Allan Kardec, a falta de memória da Humanidade

Sócrates e Platão

SÓCRATES (469—399 AC.) É um dos poucos indivíduos dos quais se poderá dizer, pela influência cultural e intelectual que exerceu no mundo, que sem ele a história teria sido profundamente diferente. Ficou especialmente conhecido pelo método, que tem o seu nome, de pergunta e resposta, pela noção que tinha da sua própria ignorância e pela afirmação de que uma vida sem o questionamento de si mesma não merece a pena ser vivida.

PLATÃO (427—347 AC.) é um dos mais conhecidos, lidos e estudados filósofos do mundo. Foi aluno de Sócrates e professor de Aristóteles, e viveu na Grécia em meados do século IV A.C. Embora influenciado inicialmente por Sócrates, a tal ponto de o ter tornado a principal figura dos seus escritos, também foi influenciado por Heráclito, Parménides e pelos Pitagóricos.


Sócrates e Platão, precursores do cristianismo e do espiritismo


..
O Capítulo IV da Introdução de “O Evangelho segundo o Espiritismo” surpreende-nos com uma referência fortíssima ao legado de Platão e de Sócrates que está na linha do que nos informa a Introdução de “O Livro dos Espíritos”, no número VI – Resumo dos ensinamentos dos Espíritos, e é coerente com a restante obra de Allan Kardec.
São esses os temas desta publicação, que apresenta os seguintes conteúdos:

  • NOTA PRÉVIA alertando para a falta de memória da Humanidade e os seus trágicos efeitos.
  • CAPÍTULO IV da Introdução de “O Evangelho segundo o Espiritismo”, com o texto introdutório e resumo do legado de Sócrates e Platão, em vinte e cinco pontos, a maioria dos quais é seguido por um comentário de Allan Kardec, salientado a azul;
  • Como elemento de contextualização do texto anterior, referência de um valioso trabalho de Reinaldo Di Lucia, apresentado no VII Simpósio Brasileiro do Pensamento Espírita, São Paulo, Brasil, em 2001, cujo ficheiro PDF incluímos e cuja leitura e análise completa empenhadamente recomendamos;
  • Inserção Capítulo VI da Introdução de “O Livro dos Espíritos”, para os visitantes poderem reler e comparar o seu conteúdo com o Capítulo IV da Introdução de “O Evangelho Segundo o Espiritismo” e o referido legado de Sócrates/Platão.

A FALTA DE MEMÓRIA DA HUMANIDADE E OS SEUS TRÁGICOS EFEITOS

A impiedosa e quase sempre cruel marcha da História impediu que a sequência das culturas e das sensibilidades pudessem ter tido acesso, ao longo dos séculos, às conceções filosóficas aqui referidas e à sua proveitosa utilidade no estabelecimento da paz e na manutenção da tolerância.
Referimos, é claro, o manancial de informações científico-filosóficas que nos apresenta a cultura espírita dos nossos dias, em paralelo com o conhecimento já em evidência na Grécia Clássica, plasmado há mais de dois mil anos por alguns dos mais insignes pensadores da História da Humanidade.

Levando em conta o momento superior da civilização, salto qualitativo da Humanidade, durante o qual passou pelo planeta a presença, a palavra e o exemplo de Jesus de Nazaré, muito se perdeu na memória dos homens desde o classicismo Grego até aos tempos de hoje.

Entre o pensamento dos Clássicos Gregos e a actualidade posterior a Allan Kardec, não estamos perante conhecimentos casuais ou desirmanados. Foram informações coligidas a seu tempo exatamente pelos mesmos métodos e derivaram das mesmas fontes de que ainda hoje nos servimos, OS ESPÍRITOS.
Os Espíritos na Grécia falaram aos viventes na Terra, irmãos seus como nós o somos agora, com os mesmos propósitos, a mesma vontade generosa e, tantas vezes, para minorar as saudades da pátria espiritual daqueles que prestavam provas e cumpriam expiações como nós o fazemos nas nossas vidas.
Profundo e precioso é o património de conhecimentos da Humanidade, mas lamentável a força dispersiva das piores tendências do Homem, em luta consigo mesmo!…
Com a prática condizente com as ideias aqui expostas, os critérios dogmáticos não teriam surgido ou podiam ter-se resolvido em paz, em harmonia e convivência.

De nada serviram, pelo caminho, os hábitos de milhões de vidas sombrias orientadas pelo medo dos infernos e purgatórios, DAS CRUZADAS ‒ exportação da violência pelo recurso organizado dos organismos político-estratégicos EM ESTREITA CUMPLICIDADE com o DOGMATISMO RELIGIOSO, as conversões à força, a colonização dos corpos, das mentes e das culturas, o pretexto das dilatações da FÉ e dos IMPÉRIOS para a prática dos maiores abusos históricos de todos os tempos, o silêncio mantido à custa de TORMENTOS INQUISITORIAIS e tantas outras abominações que esmagaram as sociedades e foram transportados por todos os continentes, num delírio materialista, desalmado e cego!…

A acentuação destas ideias nada tem de despropositado, antes pelo contrário. A senda pedregosa dos dogmatismos está aberta, e muitos milhões de almas e poderosas forças obscuras continuam a trilhá-la.
Por isso temos recomendado, ao longo destas páginas, uma atenção permanente à memória dos povos e à História da Humanidade. Porque, com o conhecimento dos erros do passado, se resolvem os erros do presente e se evitam as infelicidades injustas do futuro. Muitíssimo grande é a responsabilidade dos portadores de mensagens do ESPÍRITO EMANCIPADOR.

Capítulo IV da Introdução de “O Evangelho segundo o Espiritismo”

A morte de Sócrates, de Jacques-Louis David (1787)

Resumo dos conceitos de Sócrates e Platão que elucidam a ideia da origem e do destino do homem:
Depois de cada tema segue a azul comentários de Allan Kardec.

I – “O homem é uma alma encarnada. Antes da sua encarnação, existia junto aos modelos primordiais, às ideias do verdadeiro, do bem e do belo. Separou-se deles ao encarnar e, lembrando o seu passado, sente-se mais ou menos atormentada pelo desejo de lá voltar.”

Não se pode enunciar mais claramente a distinção e a independência do princípio inteligente e do princípio material. É, além disso, a doutrina da preexistência da alma, da vaga intuição que ela conserva da existência de outro mundo ao qual aspira, da sua sobrevivência à morte do corpo, da sua saída do mundo espiritual para encarnar, e do seu regresso a esse mundo após a morte. É, enfim, o germe da doutrina dos anjos caídos.

II – “A Alma perturba-se e confunde-se quando se serve do corpo para analisar algum objeto. Sente vertigens, como se estivesse ébria, porque se liga a coisas que são, pela sua natureza, sujeitas a transformações. Em vez disso, quando contempla a sua própria essência volta-se para o que é puro, eterno, imortal, e sendo da mesma natureza, aí permanece ligada tanto tempo quanto possa. Cessam então as suas perturbações, porque está unida ao que é imutável. Este estado da alma é o que chamamos sabedoria”.

Assim, o homem que considera as coisas vistas de baixo, terra à terra, do ponto de vista material, vive iludido. Para as apreciar com clareza é necessário vê-las do alto, ou seja, do ponto de vista espiritual. O verdadeiro sábio deve, por qualquer forma, isolar a alma do corpo, para ver com os olhos do Espírito. É isso o que ensina o Espiritismo (Cap. II, n° 5).

III – “Enquanto tivermos o nosso corpo, e a nossa alma se encontrar mergulhada nessa corrupção, nunca possuiremos o objeto dos nossos desejos ─ a verdade. De facto, o corpo oferece-nos mil obstáculos, pela necessidade que temos de cuidar dele. Além disso, enche-nos de desejos, de apetites, de temores, de mil quimeras e de mil tolices, de maneira que, com ele, é impossível ser sensato, mesmo por um momento. Mas, se nada se pode conhecer verdadeiramente enquanto a alma está unida ao corpo, uma destas duas coisas se impõe: ou que nunca se conhecerá a verdade, ou que se conhecerá depois da morte. Livres da loucura do corpo, então conversaremos, é de esperar-se, com pessoas igualmente livres, e conheceremos por nós mesmos a essência das coisas. É por isso que os verdadeiros filósofos se preparam para morrer e a morte não lhes parece de maneira alguma temível”. (Ver O Céu e o Inferno, 1ª parte, cap. II, e 2ª parte, cap. I).

Aqui está o princípio das faculdades da alma, obscurecidas devido aos órgãos corporais, e da expansão dessas faculdades depois da morte. Mas trata-se aqui das almas evoluídas, já depuradas. Não acontece o mesmo com as almas impuras.

IV – “A alma impura, nesse estado, encontra-se pesada e é novamente arrastada para o mundo visível, pelo horror ao que é invisível e imaterial. Vagueia, então, segundo se diz, ao redor dos monumentos e dos túmulos, junto dos quais foram vistos, às vezes, fantasmas tenebrosos. Assim devem ser as imagens das almas que deixaram o corpo sem estar inteiramente puras, e que conservam alguma coisa da forma material, o que permite aos nossos olhos apercebê-las. Essas não são as almas dos bons, mas as dos maus, que são forçadas a vaguear nesses lugares, onde carregam as penas das suas vidas passadas e onde continuam a vaguear até que os apetites inerentes à sua forma material as coloquem de novo a habitar um corpo. Então, retomam sem dúvida os mesmos costumes que, durante a vida anterior, eram da sua predileção”.

Não somente o princípio da reencarnação está aqui claramente expresso, mas também o estado das almas, que ainda estão sob o domínio da matéria, é descrito tal como o Espiritismo o demonstra nas evocações. E há mais, pois afirma-se que a reencarnação é uma consequência da impureza da alma, enquanto as almas purificadas estão livres dela.
O Espiritismo diz isto mesmo, apenas acrescenta que a alma que tomou boas resoluções na erraticidade, e que tem conhecimentos adquiridos, trará ao renascer menos defeitos, mais virtudes e mais ideias intuitivas do que na existência anterior. Assim, cada existência marca para ela um progresso intelectual e moral. (O Céu e o Inferno, 2ª parte: Exemplos).

V – “Após a nossa morte, o génio (daïmon, em grego) que nos fora designado durante a vida, leva-nos a um lugar onde se reúnem todos os que devem ser conduzidos ao Hades, para aí serem julgados. As almas, depois de permanecerem no Hades o tempo necessário, são reconduzidas a esta vida por numerosos e longos períodos”.

Esta é a doutrina dos Anjos da Guarda ou Espíritos protetores, e das reencarnações sucessivas, após intervalos mais ou menos longos de erraticidade.

VI – “Os demónios preenchem o espaço que separa o Céu da Terra, são os laços que ligam o Grande Todo consigo mesmo. A divindade nunca entra em comunicação direta com os homens, é por meio dos demónios que os deuses se relacionam e conversam com ele, quer durante o estado de vigília quer durante o sono”.

A palavra “daïmon”, que originou o termo “demónio”, na Antiguidade não tinha o sentido do mal, como acontece entre nós. Não se aplicava essa palavra exclusivamente aos seres maldosos, mas a todos os Espíritos em geral, entre os quais se distinguiam os espíritos superiores chamados deuses e os Espíritos menos elevados ou demónios propriamente ditos, que comunicavam diretamente com os homens. O Espiritismo ensina também que os Espíritos povoam o espaço, que Deus não comunica com os homens senão por intermédio dos Espíritos puros, encarregados de nos transmitir a sua vontade, que os Espíritos comunicam connosco durante o estado de vigília e durante o sono.
Substituindo a palavra demónio pela palavra Espírito teremos a doutrina espírita; usando a palavra anjo, teremos a doutrina cristã.

VII – “A preocupação constante do filósofo (tal como o compreendiam Sócrates e Platão) é a de ter o maior cuidado com a alma, não tanto por esta vida, que é apenas um instante, mas tendo em vista a eternidade. Se a alma é imortal, não é sábio viver para a eternidade?”

O Cristianismo e o Espiritismo ensinam a mesma coisa.

VIII – “Se a alma é imaterial, deve voltar, após esta vida, a um mundo igualmente invisível e imaterial, da mesma forma que o corpo, ao decompor-se, volta à matéria. Importa somente distinguir bem a alma pura, verdadeiramente imaterial, que se alimenta, como Deus, da sabedoria e dos pensamentos, da alma mais ou menos manchada por impurezas materiais, que a impedem de se elevar ao divino, retendo-a nos lugares da sua passagem pela Terra”.

Sócrates e Platão, como se vê, compreendiam perfeitamente os diferentes graus de desmaterialização da alma. Insistem nas diferenças que resultam da sua maior ou menor pureza. O que eles diziam por intuição, o Espiritismo prova-o, pelos numerosos exemplos que nos põe diante dos olhos (O Céu e o Inferno, 2ª parte).

IX – “Se a morte fosse o desaparecimento total do homem, isso seria de grande vantagem para os maus, que após a morte estariam livres, ao mesmo tempo, dos seus corpos, das suas almas e dos seus vícios.
Só aquele que enriqueceu a sua alma, não com estranhas ornamentações, mas com as que lhe são próprias, poderá esperar tranquilamente a hora da sua partida para o outro mundo”.

Por outras palavras: o materialismo, que proclama o nada após a morte, seria a negação de todas as responsabilidades morais posteriores e, por conseguinte, um estímulo ao mal. O malvado tem tudo a ganhar com o nada, o homem que se livrou dos seus vícios e se enriqueceu de virtudes é o único que pode esperar tranquilamente o despertar na outra vida. O Espiritismo mostra-nos, pelos exemplos que diariamente nos apresenta, quanto é penosa a passagem desta para a outra vida e a entrada na vida futura, para os que praticam o mal. (O Céu e o Inferno, 2ª parte, cap. I).

X – “O corpo conserva bem marcados os vestígios dos cuidados que se teve com ele ou dos acidentes que sofreu. Acontece o mesmo com a alma. Quando está separada do corpo conserva os traços evidentes do seu caráter, dos seus sentimentos, e as marcas que nela deixaram os atos que praticou durante a vida. Assim, a maior desgraça que pode acontecer a um homem é a de ir para o outro mundo com uma alma carregada de crimes. Tu vês, Callicles, que nem tu, nem Polus, nem Górgias, podereis provar que se deve levar outra vida que nos seja mais útil quando formos para o outro mundo. De tantas opiniões diferentes, a única que permanece inabalável é a de que mais vale receber uma injustiça do que cometê-la, e que antes de tudo devemos aplicar-nos, não a parecer, mas a ser um homem de bem”. (Conversas de Sócrates com os discípulos na prisão).

Aqui encontra-se outro ponto capital hoje confirmado pela experiência, segundo o qual a alma não purificada conserva as ideias, as tendências, o caráter e as paixões que tinha na Terra. Esta máxima: mais vale receber uma injustiça do que cometê-la, não é totalmente cristã? É o mesmo pensamento que Jesus exprime por este juízo: “Se alguém te bater numa face, oferece-lhe a outra”. (Cap. XII, nºs 7 e 8)).

XI – “De duas, uma: ou a morte é a destruição absoluta, ou é a passagem da alma para outro lugar. Se tudo deve extinguir- se, a morte será como uma dessas raras noites que passamos sem sonhar e sem nenhuma consciência de nós mesmos. Mas se a morte é apenas uma mudança de morada, a passagem para um lugar onde os mortos se devem reunir, que felicidade a de ali reencontrarmos os nossos conhecidos! O meu maior prazer seria o de examinar de perto os habitantes dessa outra morada e distinguir entre eles, como aqui, os que são sensatos dos que creem sê-lo e não o são. Mas já é tempo de partirmos, eu para morrer e vós para viver”. (Sócrates aos seus juízes).

Segundo Sócrates, os homens que viveram na Terra encontram-se depois da morte e reconhecem-se. O Espiritismo no-los mostra, continuando as suas relações, de tal maneira que a morte não é uma interrupção, nem uma cessação da vida, mas uma transformação sem solução de continuidade.
Sócrates e Platão, se tivessem conhecido os ensinamentos transmitidos por Jesus quinhentos anos mais tarde, e os que o Espiritismo nos transmite hoje, não teriam falado de outra maneira. Nisso, nada há que nos deva surpreender, se considerarmos que as grandes verdades são eternas e que os Espíritos adiantados devem tê-las conhecido antes de vir para a Terra, para onde as trouxeram. Sócrates, Platão e os grandes filósofos do seu tempo poderiam estar, mais tarde, entre aqueles que secundaram Jesus na sua divina missão, sendo escolhidos precisamente porque estavam mais aptos do que outros a compreenderem os seus sublimes ensinamentos. E pode acontecer que façam agora parte da grande plêiade de Espíritos encarregados de virem ensinar aos homens as mesmas verdades.

XII – “Não se deve nunca retribuir a injustiça com a injustiça, nem fazer mal a ninguém, qualquer que seja o mal que nos tenha feito. Poucas pessoas, contudo, admitem este princípio, e as que não concordam com ele só podem desprezar-se umas às outras”.

Não é este o princípio da caridade, que nos ensina a não retribuir o mal com o mal e a perdoar aos inimigos?

XIII – “É pelos frutos que se conhece a árvore. É necessário qualificar cada ação por aquilo que ela produz: chamá-la má quando a sua consequência é má, e boa quando produz o bem”.

Esta expressão: “É pelos frutos que se reconhece a árvore”, encontra-se textualmente repetida, muitas vezes, no Evangelho.

XIV – “A riqueza é um grande perigo. Todo o homem que ama a riqueza, não se ama a si próprio nem ao que é seu, mas ama algo que lhe é mais estranho do que aquilo que é dele”. (Cap. XVI).

XV – “As mais belas preces e os mais belos sacrifícios agradam menos à Divindade do que uma alma virtuosa que se esforce por se lhe assemelhar. Seria grave que os deuses se interessassem mais pelas nossas oferendas do que pelas nossas almas. Se tal acontecesse, os maiores culpados poderiam conquistar os seus favores. Mas não, pois só são verdadeiramente retos e justos os que, pelas suas palavras e pelos seus atos, cumprem os deveres para com os deuses e os homens”. (Cap. X, nºs 7 e 8).

XVI – “Chamo homem violento ao amante vulgar, que ama mais o corpo do que a alma. O amor está por toda a natureza que nos convida a exercitar a nossa inteligência. Encontramo-lo até mesmo no movimento dos astros. É o amor que ornamenta a natureza com os seus admiráveis adornos. Enfeita-se e fixa a sua morada onde encontra flores e perfumes. É ainda o amor que traz a paz à Humanidade, a calma ao mar, o silêncio aos ventos e o sossego à dor”.

O amor, que deve unir os seres humanos por um sentimento de fraternidade, é uma consequência desta teoria de Platão sobre o amor universal, como lei da natureza. Sócrates disse que “o amor não é um deus nem um mortal, mas um grande Daïmon”, ou seja, um grande Espírito que preside ao amor universal. Foi sobretudo esta afirmação que lhe foi imputada como crime.

XVII – “A virtude não pode ser ensinada, vem por um dom de Deus aos que a possuem”.

É quase como a graça no conceito cristão. Mas se a virtude é um dom de Deus, um favor, pode perguntar-se por que razão não é concedida a todos? Por outro lado, se é um dom, não há mérito da parte do que a possui? O Espiritismo é mais explícito, ensina que aquele que a possui já a adquiriu pelos seus esforços nas vidas sucessivas, ao livrar-se pouco a pouco das suas imperfeições. A graça é a força que Deus concede aos homens de boa vontade, para se livrarem do mal e fazerem o bem.

XVIII – “Há uma disposição natural em cada um de nós, é a de nos apercebermos muito menos dos nossos defeitos do que dos defeitos alheios”.

O Evangelho diz: “Vês o argueiro no olho do teu irmão, e não vês a trave no teu?” (Cap. X, nº 9 e 10).

XIX – “Se os médicos não conseguem debelar a maior parte das doenças, é porque tratam o corpo sem a alma, e porque, se o todo não se encontra em bom estado, é impossível que as suas partes estejam bem”.

O Espiritismo esclarece as relações entre a alma e o corpo, e prova que um atua incessantemente sobre o outro. Assim, abre um novo caminho à ciência. Mostrando-lhe a verdadeira causa de certas doenças, dá-lhe, pois, o meio de as combater. Quando a ciência levar em conta a ação do elemento espiritual no conjunto orgânico, será mais eficaz.

XX – “Todos os homens, desde a infância, fazem mais mal do que bem”.

Estas palavras de Sócrates tocam a grave questão da predominância do mal sobre a Terra, questão insolúvel sem o conhecimento da pluralidade dos mundos e do destino da Terra, onde habita apenas uma pequena parte da Humanidade. Só o espiritismo lhe dá a solução, que se encontra desenvolvida mais adiante, nos capítulos II, III e V.

XXI – “A sabedoria está em não julgares que sabes aquilo que não sabes”.

Isto vai dirigido àqueles que criticam as coisas de que, frequentemente, nada sabem. Platão completa este pensamento de Sócrates, ao dizer: “Tentemos primeiro torná-los, se possível, mais honestos nas palavras. Se não conseguirmos, não nos preocupemos com eles e busquemos nós a verdade. Tratemos de nos instruir, mas sem nos incomodarmos“. É assim que devem agir os espíritas, em relação aos seus contraditores de boa ou má-fé. Se Platão vivesse hoje encontraria as coisas mais ou menos como no seu tempo e poderia usar a mesma linguagem. Sócrates também encontraria quem zombasse da sua crença nos Espíritos e o tratasse como se fosse louco, assim como ao seu discípulo Platão.
Foi por ter professado esses princípios que Sócrates foi ridicularizado, primeiro, depois acusado de impiedade e condenado a beber a cicuta. É bem certo que as grandes e novas verdades, levantando contra si os interesses e os preconceitos que elas ferem, não podem ser estabelecidas sem lutas e sem mártires.


Para as pessoas interessadas em documentar histórico-culturalmente, identificando bem a origem destas referências a Sócrates e Platão, recomendo a leitura integral do seguinte trabalho de Reinaldo Di Lucia:

VII Simpósio Brasileiro do Pensamento Espírita / São Paulo 2001
da autoria de REINALDO DI LUCIA

Sócrates e Platão: percursores do espiritismo
de REINALDO DI LUCIA – PDF

A Escola de Atenas, de Raffaello Sanzio (pintura de 1509-1511), uma das obras mais extraordinárias do Museu do Vaticano que representa grande número de pensadores, entre os quais Platão e Sócrates.

Para completar e actualizar as referências aqui expostas, nada como a palavra de ALLAN KARDEC, com a conhecida síntese:

Resumo dos ensinamentos dos Espíritos, conforme o Capítulo VI da Introdução de “O Livro dos Espíritos”:

Os seres que deste modo comunicam designam-se a si mesmos – como já dissemos – pelo nome de Espíritos ou génios, e como tendo pertencido, pelo menos alguns, a pessoas que viveram na Terra. Constituem o mundo espiritual, como nós constituímos, durante a vida, o mundo corporal. Resumimos a seguir, em poucas palavras, os pontos mais salientes dos ensinamentos que nos transmitiram:

Deus é eterno, imutável, imaterial, único, todo poderoso, soberanamente justo e bom. Criou o Universo que inclui todos os seres animados e inanimados, materiais e imateriais. Os seres materiais constituem o mundo visível ou corporal e os seres imateriais constituem o mundo invisível ou espírita, isto é, dos Espíritos.

O mundo espírita é o mundo normal, primitivo, eterno, preexistente e sobrevivente a tudo.

O mundo corporal é secundário, poderia deixar de existir ou nunca ter existido sem alterar a essência do mundo espírita. Os Espíritos animam temporariamente um corpo material perecível, cuja morte os devolve à liberdade.

Entre as diferentes espécies de seres corporais, Deus escolheu a espécie humana para a encarnação dos Espíritos que chegaram a um certo grau de desenvolvimento, o que lhe dá superioridade moral e intelectual sobre as outras. A alma é um Espírito encarnado num corpo material.

Há nos seres humanos três coisas:

1º) O corpo ou ser material, semelhante ao dos animais e animado pelo mesmo princípio vital;
2º) A alma ou ser imaterial, Espírito encarnado no corpo;
3º) O sistema de ligação que une a alma ao corpo, o perispírito, princípio intermediário entre a matéria e o Espírito.

O ser humano tem assim duas naturezas: pelo corpo participa da natureza dos animais, dos quais possui os instintos; pela alma participa da natureza dos Espíritos. O sistema de ligação entre corpo e Espírito, o perispírito, é um complexíssimo sistema semimaterial.

A morte é o falecimento do corpo mais denso. O Espírito conserva o organismo de ligação ou perispírito, que lhe serve como corpo semimaterial, de muito baixa densidade, invisível para nós no seu estado normal. O Espírito pode torná-lo circunstancialmente visível e mesmo tangível, como acontece no fenómeno das aparições.

O Espírito não é, portanto, um ser abstrato, indefinido, que só o pensamento pode compreender. É um ser real, definido, que em certos casos pode ser apreendido pelos nossos sentidos da vista, da audição e do tato. Os Espíritos pertencem a diferentes níveis, não sendo iguais em poder, inteligência, saber ou moralidade:

– Os da primeira ordem são os Espíritos superiores que se distinguem dos outros pela perfeição, pelos conhecimentos, pela proximidade de Deus, pela pureza dos sentimentos e pelo seu amor ao bem: são os anjos ou Espíritos puros.

− Os dos outros níveis distanciam-se progressivamente desta perfeição.

– Os dos níveis inferiores são propensos às nossas paixões: o ódio, a inveja, o ciúme, o orgulho, etc. e comprazem-se no mal.

Neste número há os que não são muito bons nem muito maus, são mais perturbadores e intrigantes do que maus. A malícia e as inconsequências parecem ser as suas características: são os Espíritos tolos ou frívolos.

Os Espíritos não pertencem eternamente à mesma ordem. Todos se vão aperfeiçoando, passando pelos diferentes graus da hierarquia espírita. Esta evolução dá-se mediante a encarnação, imposta a uns como expiação e a outros como missão.

A vida material é uma prova a que devem submeter-se repetidas vezes até atingirem a perfeição absoluta: é uma espécie de filtro purificador, do qual vão saindo mais ou menos aperfeiçoados.

Deixando o corpo, a alma regressa ao mundo dos Espíritos, do qual saíra para reiniciar uma nova existência material, após um lapso de tempo mais ou menos longo, durante o qual fica no estado de Espírito errante. Devendo o Espírito passar por muitas encarnações, conclui-se que todos nós tivemos muitas existências e que teremos ainda outras, mais ou menos aperfeiçoadas, seja na Terra, seja noutros mundos. A encarnação dos Espíritos ocorre sempre na espécie humana. Seria um erro acreditar que a alma ou Espírito pudesse encarnar no corpo de um animal. (Ver pergunta 611 e seguintes.)

As diversas existências corporais do Espírito são sempre de evolução positiva e nunca de evolução negativa ou retrógrada: a rapidez desse progresso evolutivo, contudo, depende dos esforços que fazemos para chegar à perfeição. As qualidades da alma são as do Espírito que está encarnado em nós. Assim, o homem de bem é a encarnação de um bom Espírito e o homem perverso a de um Espírito impuro.

A alma tinha a sua individualidade antes da encarnação e conserva-a após a separação do corpo. No seu regresso ao mundo dos Espíritos, a alma reencontra ali todos os que conheceu na Terra e todas as suas existências anteriores desfilam na sua memória, com a recordação de todo o bem e de todo o mal que fez. (Ver perguntas 305 a 307)

O Espírito encarnado está sob a influência da matéria. O ser humano que supera essa influência, pela elevação e purificação da sua alma, aproxima-se dos bons Espíritos com os quais estará um dia. Aquele que se deixa dominar pelas más paixões, e põe todas as suas alegrias na satisfação dos apetites mais rudes, aproxima-se dos Espíritos impuros, dando preponderância à sua natureza animal.

Os Espíritos encarnados habitam a multiplicidade dos astros do Universo.

Os Espíritos não encarnados ou errantes não ocupam nenhuma região determinada ou circunscrita. Estão por toda a parte, no espaço e ao nosso lado, vendo-nos e convivendo connosco com grande proximidade: é toda uma população invisível que se agita em nosso redor.

Os Espíritos exercem sobre o mundo moral e mesmo sobre o mundo físico uma ação incessante. Agem sobre a matéria e sobre o pensamento e constituem uma das forças da natureza, causa eficiente de uma multidão de fenómenos até agora inexplicados ou mal explicados, que só encontram solução racional no espiritismo.

As relações dos Espíritos com os homens são constantes. Os bons Espíritos estimulam-nos para o bem, apoiam-nos nas provas da vida e ajudam-nos a suportá-las com coragem e resignação. Os maus instigam-nos ao mal: para eles é um prazer ver-nos sucumbir e tornarmo-nos iguais a eles.

As comunicações dos Espíritos com os homens são ocultas ou ostensivas. As comunicações ocultas têm lugar pela boa ou má influência que exercem sobre nós sem o sabermos, cabendo ao nosso julgamento discernir as más e as boas inspirações. As ostensivas realizam-se por meio da escrita, da palavra ou de outras manifestações materiais, na maioria das vezes através dos médiuns que lhes servem de instrumentos.

Os Espíritos manifestam-se espontaneamente ou pela evocação.

Podemos evocar todos os Espíritos:

− Os que animaram homens obscuros e os das personagens mais ilustres, qualquer que seja a época em que tenham vivido;

− Os dos nossos parentes, dos nossos amigos ou inimigos e deles obter, por comunicações escritas ou verbais, conselhos, informações sobre a situação em que se acham além túmulo, sobre os seus pensamentos a nosso respeito, assim como as revelações que lhes seja permitido fazer-nos.

Os Espíritos são atraídos em função da sua simpatia pela natureza moral do meio que os evoca. Os Espíritos superiores gostam das reuniões sérias, dominadas pelo amor do bem e pelo desejo sincero de instrução e de melhoria. A sua presença afasta os Espíritos inferiores que, pelo contrário, têm acesso fácil e liberdade de ação entre pessoas frívolas guiadas apenas pela curiosidade, onde quer que predominem os maus instintos.

Longe de obter bons conselhos e informações úteis, só é possível esperar desses Espíritos futilidades, mentiras, brincadeiras de mau gosto ou mistificações, pois servem-se frequentemente de nomes veneráveis para melhor induzirem em erro.

Distinguir os bons dos maus Espíritos é extremamente fácil. A linguagem dos Espíritos superiores é constantemente digna, nobre, cheia da mais alta moralidade, livre de qualquer paixão inferior. Os seus conselhos revelam a mais pura sabedoria e têm sempre por alvo o nosso progresso e o bem da Humanidade.

A dos Espíritos inferiores, pelo contrário, é inconsequente, muitas vezes banal e mesmo grosseira; se dizem às vezes coisas boas e verdadeiras, dizem com mais frequência falsidades e absurdos, por malícia ou por ignorância. Zombam da credulidade e divertem-se à custa dos que os interrogam, lisonjeando-lhes a vaidade e alimentando os seus desejos com falsas esperanças. Em resumo, as comunicações sérias, na verdadeira aceção da palavra, só se verificam nos centros sérios, cujos membros estão unidos por uma íntima comunhão de pensamentos dirigidos para o bem.

A moral dos Espíritos superiores resume-se, como a de Jesus, nesta máxima evangélica: “Fazer aos outros o que desejamos que os outros nos façam”, ou seja, fazer o bem e não o mal. O ser humano encontra nesse princípio a regra universal de conduta, mesmo para as ações menores.

Os Espíritos superiores ensinam-nos que:
─ O egoísmo, o orgulho e a sensualidade são paixões que nos aproximam da natureza animal, prendendo-nos à matéria;
─ Aqueles que neste mundo se libertam da matéria, pelo desprezo das futilidades mundanas e pelo exercício do amor ao próximo, se aproximam da natureza espiritual;
─ Cada um de nós se deve tornar útil segundo as faculdades e os meios que Deus nos colocou nas mãos, como prova;
─ O forte e o poderoso devem apoio e proteção ao fraco, porque aquele que abusa da sua força e do seu poder para oprimir o seu semelhante viola a lei de Deus.

Ensinam-nos, enfim:
─ No mundo dos Espíritos, onde nada pode estar escondido, o hipócrita será desmascarado e todas as suas torpezas reveladas;
─ A presença inevitável e incessante daqueles que prejudicámos é um dos castigos que nos estão reservados;
─ Ao estado de inferioridade e de superioridade dos Espíritos correspondem penas e alegrias que nos são desconhecidas na Terra.

Os Espíritos superiores ensinam-nos, também, que não há faltas cujo perdão seja impossível e que não possam ser apagadas pela expiação. É nas sucessivas existências que o ser humano encontra os meios que lhe permitem avançar, segundo o seu desejo e os seus esforços, no caminho do progresso que conduz à perfeição, que é o seu objetivo final.”

Este é o resumo do espiritismo tal como resulta do ensino dado pelos Espíritos superiores.

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Prefácio dos tradutores de “O Livro dos Espíritos”

Prefácio dos tradutores

Com sugestões de leitura e requisitos essenciais para entender a obra

Esta nova tradução de O Livro dos Espíritos, da autoria de Hipólito Leão Denisard Rivail, sob o pseudónimo de Allan Kardec, foi feita pelos abaixo-assinados diretamente da língua francesa, conforme a segunda edição original de 1860, de modo a torná-lo acessível a todas as pessoas que falam a língua portuguesa dos dias de hoje, isto é, do ano de 2018.
Destina-se tanto a leitores espíritas como não espíritas, tendo sido este pre­fácio especialmente redigido para pessoas não espíritas, dando a conhecer as condições essenciais para aceder à mensagem da obra e aos seus ensinamentos. Além da renovação linguística, esta versão do livro contém algumas dezenas de comentários de contextualização cultural, publicadas no fim do mesmo e designadas como “Notas finais”. Têm a finalidade de esclarecer certas palavras e ideias que se encontram deslocadas ou desatualizadas, devido à antiguidade histórica do escrito original.
O que aqui fica dito resulta da imensa admiração e respeito que temos pelo ensinamento dos Espíritos, na forma que foi metodicamente organizada por Hipólito Leão Dénisard Rivail, aliás Allan Kardec.
Como autores da tradução, deste prefácio e das Notas finais, obedecemos exclusivamente, na forma e no conteúdo desse trabalho, à nossa consciência cultural e moral, visto que não somos membros de qualquer organização religiosa, ideológica ou política.

O espiritismo falado em português de Portugal

Tendo procurado traduções de acordo com o português de Portugal dos dias de hoje, só encontrámos versões revistas para português, mas visivelmente subsidiárias das antigas traduções brasileiras, com todas as respectivas características.
Pensamos que não é prestigiante para os espíritas portugueses terem dei­xado passar tanto tempo sem afirmarem uma desejável autonomia cultural, que tivesse realizado a tradução completa de todos os muito notáveis trabalhos de Allan Kardec, incluindo a Revista Espírita, que teriam ganho, junto dos utilizadores da es­plêndida língua portuguesa, mais vigor e trato familiar.

Carácter da obra e suas qualidades essenciais

O Livro dos Espíritos trata de assuntos de índole universal, cujo conhecimen­to é indispensável a todos os seres humanos conscientes do seu devir ontológico.
O Livro dos Espíritos fornece informações concretas e baseadas em factos, explicando de onde viemos antes de nascer e para onde vamos depois da morte, bastando uma consulta cuidadosa ao índice para ter uma ideia dos seus conteúdos científico-filosóficos e bem assim dos seus objectivos morais.
Pormenoriza a natureza e o significado de fenómenos de todos os dias, dos mais simples aos mais complexos, e qual a atitude mais recomendável para enfrentá-los. Esclarece-nos acerca da alegria, da tristeza, da saúde e das enfermidades, da razão de existirem ricos e pobres e por que razão há pessoas que nascem belas, inteligentes e afortunadas e há outras que nascem com dificuldades, tristezas e até desfiguradas fisicamente.
O Livro dos Espíritos fala com profundidade do bem e do mal, ajudando-nos a compreender a sua complexidade, por vezes desconcertante. A cultura que nos apresenta tem o intuito de melhorar o entendimento do mundo e de reforçar a nossa consciência em clima de responsabilidade sem medo; não obriga ninguém a nada, não é uma religião, não configura um catecismo; apresenta uma visão otimista da vida e alarga os caminhos que conduzem à paz dos indivíduos e da sociedade no seu conjunto.

[1 – O espiritismo é uma religião?]

(NOTA: esta numeração passa a ser inscrita em certos pontos do texto e diz respeito às “Notas Finais” de contextualização cultural, que convirá ir consultando.)

Sugestões para a leitura de O Livro dos Espíritos:

Para quem começa, este não é um livro para ler de empreitada, como uma peregrinação e, muito menos, como uma penitência. Alguns conselhos que aqui registamos aumentarão a receptividade de muitos leitores, dando-lhes a exata noção do que vão encontrar pela frente.
Allan Kardec dedicou uma parte muito importante da sua argumentação com os leitores dirigindo-se, naturalmente, às pessoas do seu tempo. Um número significativo de textos é dirigido aos “opositores”, aos “incrédulos” e aos “adversários” do espiritismo. Nesse tempo, diferentemente do que se passa hoje, escasseavam as actividades lúdicas, e a comunicação social, como a conhecemos hoje, estava à distância de muitos anos. Havia, portanto, certas pessoas que, com a popularidade das “mesas girantes” e das “reuniões espíritas” em geral, se aproximavam desse fenómeno para o contestar, argumentando das mais diversas formas.
É a essas pessoas que Allan Kardec se dirigia em larga porção da “Introdução”, da “Conclusão” e de muitos parágrafos dos extensos comentários espalhados ao longo do Livro.
O leitor da actualidade, posto de sobreaviso, vai compreender o que foi escrito e saberá levar esses textos na devida conta. Estar a argumentar com opositores incrédulos e adversários do espiritismo não faz sentido nenhum na actualidade, porque esses, muito dificilmente abrirão sequer “O Livro dos Espíritos”.
O livro propriamente dito só começa depois de toda a complicada “Introdução” e vem a seguir a um pequeno texto chamado “Prolegómenos”, palavra que quer dizer: “introdução” ou “noções preliminares de uma obra ou de uma ciência”.
O leitor deve ter a liberdade de procurar inicialmente no livro o que mais lhe interessar, lendo por aqui e por ali os temas mais apetecíveis. Poderá, para esse efeito, consultar primeiramente o Índice.

Leia e releia com atenção o que achar mais válido e interessante.

Se não estiver de acordo com o que está explicado em certo ponto, tenha a coragem de prosseguir. Adie as certezas difíceis de atingir com facilidade imediata, para que a longa jornada da vida possa abrir-lhe uma outra maneira de ver as coisas que agora não alcança, mas que tanta falta lhe fazem: o sentido otimista da vida, a esperança, a serenidade e a confiança. Se quiser prosseguir desse modo, é nossa convicta opinião que a leitura deste livro poderá ser um precioso auxiliar para atingir esses objetivos.
Não se pode esperar que a vida e o mundo, a natureza e todo o Universo sejam de entendimento imediato e fácil. Deve, pois, continuar a explorar, mais na atitude de quem estuda do que na atitude de quem lê por simples curiosidade.
O leitor que queira aprender, realmente, deve estar preparado para relacionar diversas partes do livro entre si, tentando encontrar relações coerentes entre os diversos ensinamentos. Só depois de ter feito estas explorações iniciais, com todo o interesse e vontade, valerá a pena ler o livro de uma assentada, ou passar, em alternativa favorável, à leitura de todos os escritos de Allan Kardec, incluindo o formidável conjunto da Revista Espírita, também publicada em vida pelo seu autor.

Requisitos essenciais para entender o livro e a origem dos seus ensinamentos

Sendo muito difícil avaliar a complexidade extraordinária do Universo e configurar com facilidade o significado da vida e da morte, há pessoas que desistem de compreender a realidade como projeto coerente, justo e generoso.
A ciência de observação baseada no estudo dos fenómenos espirituais, associada à enorme coerência de tudo o que nos rodeia desde o átomo às estrelas permite, pelo contrário, concluir que nada acontece de forma gratuita ou casual.
A par dessa conclusão fortemente documentável, todos nós necessitamos de construir reservas de convicção e de energia que nos auxiliem a vencer os obs­táculos com êxito, podendo, desejavelmente, ajudar quem nos rodeia, familia­res, amigos e a sociedade, com vista ao progresso, à felicidade, à verdade e à justi­ça, tais como se encontram fielmente configurados pelo conhecimento espírita.
A conclusão contrária de que o mundo e a vida resultam de acasos sem nexo, sem origem nem destino perfeitamente harmonizados, é uma desistência negligente que conduz à desmoralização, à dureza e ao medo.
As provas da coerência do plano das vidas e da natureza são tão volumosas e eloquentes, estão aqui tão próximas de cada um de nós, que não será necessário gastarmos muito tempo argumentando em seu favor. Os que ainda não atingiram esta ideia comecem a prestar atenção: ler “O Livro dos Espíritos” pode ser um bom começo.
Pensamos, portanto, de forma inabalável, que tudo o que existe deriva de uma inteligência suprema criadora de todas as coisas.
Fiquemos agora apenas por essa expressão, à qual não é necessário dar nome. É mais um sentimento que uma ideia definida que reside no íntimo intuitivo da sensibilidade. Deixemos que ela permaneça aí, onde melhor se compreende e onde mais perto está de tudo o que somos.
Quanto ao leitor que ainda duvida, esperamos com toda a convicção que nos encontre mais tarde, comungando da mesma fé que nos anima, com esperança e vontade esclarecida, harmonia e paz no coração. A criação magnânima da vontade superior que nos trouxe aqui não tem pressa. A jornada, que começou não se sabe onde nem como, continuará a desenvolver-se por todo o sempre. Tenhamos, pois, a serenidade que corresponde a esse devir sem limites nem fronteiras.
Como parte mais técnica e prática, sem cujo entendimento é impossível avançar para a leitura, é favor considerar o seguinte: apesar de dotados de importantíssimo património de capacidades orgânicas e racionais, os seres humanos entendem o Universo com ferramentas muito modestas e limitadas.
Os nossos cinco sentidos, a vista, o ouvido, o olfato, o paladar e o tato, deixam-nos a distâncias inimagináveis da realidade das coisas concretas, do mais perto ao mais longínquo, do mais pequeno ao infinitamente grande.
Tudo o que existe é muito mais do que podemos entender com essas limitadas ferramentas sensoriais, por muito completas e exigentes que sejam a nossa imaginação e a nossa inteligência.
No Universo (ou nos Universos?…) é muito mais aquilo que não se vê e não se entende, do que aquilo que se percebe e se sente com a vista e com o entendimento. A espantosa marcha da ciência tem dado passos de gigante ao tentar aproximar-se dessa enormidade de segredos. Mas quanto mais avança, mais profunda é a noção das coisas ignoradas.
Teremos que regressar ao grande Sócrates e à ideia que lhe conferiu a categoria do homem mais sábio de toda a Grécia: aquele que tinha a noção máxima de tudo o que desconhecia.
Existimos, pois, antes de nascermos neste mundo, num outro plano de que não temos conhecimento, no qual continuaremos a existir depois de falecido o corpo que nos serve de veículo existencial. O nascimento e a morte, portanto, não são o começo e o fim de tudo, e esse é um dos ensinamentos fundamentais de “O Livro dos Espíritos”.
Para confirmar factualmente essa realidade são conhecidas fontes de informação, de cuja existência há provas abundantes, que estão documentadas ao longo de toda a existência da Humanidade.

A mediunidade e a troca direta de informações entre o mundo dos vivos e o dos mortos

Havendo pessoas especialmente dotadas com mais um do que os normalíssimos cinco sentidos, têm por isso a capacidade, incompreensível para a maioria, de poderem sentir, ver e até dar voz às entidades espirituais que, depois da vida material, passam a existir no plano a que chamamos “mundo espiritual”.
Essa capacidade, esse sentido raro, chama-se “mediunidade”, porque são chamados “médiuns” os que a possuem.
Médium é uma palavra latina que signifíca “meio”, e que serve para designar o “in­termediário” ou “tradutor” das inumeráveis mensagens que têm sido trocadas entre os dois planos da existência, de forma que pode ser comprovada pela realidade dos factos.
A mediunidade é muito mais abundante do que se julga, tem graus de operacionalidade e modalidades muito diversas e já foi estudada em meio científico por diversas autoridades isentas e da maior competência, para além de se tornar evidente para qualquer pessoa que dela tenha o conhecimento direto.
“Mundo material” é o nosso, o do corpo físico que conhecemos, o mundo das coisas que vemos e palpamos à nossa volta.
O “mundo espiritual” é o mundo que não vemos, mas que se faz sentir po­derosamente, porque é nele que existimos antes e iremos existir depois, por toda a eternidade. Os contactos entre o “mundo material” e o “mundo espiritual” são contínuos e realizam-se de diversas formas desde há uma imensidade de anos.
O autor de “O Livro dos Espíritos”, Hipólito Leão Denisard Rivail, aliás Allan Kardec, organizou e sistematizou de modo filosófico um grande conjunto de apontamentos tirados de conversas tidas, ao longo de anos, entre pessoas vivas e entidades espirituais, que puderam “conversar” normalissimamente por intermédio de médiuns. Esse trabalho foi desenvolvido em França, em meados do século dezanove. O autor referido designou essa cultura como sendo: “o espiritismo, ciência que trata da natureza, origem e destino dos Espíritos, bem como das suas relações com o mundo corporal”.
É destas conversas, e dos comentários feitos pelo autor da obra a respeito das ideias por ele organizadas, que é feito “O Livro dos Espíritos”.
Segundo as conclusões seguras a que o “espiritismo” chegou, todos nós somos Espíritos, temporariamente ocupados por um breve intervalo de aprendizagens e experiências diversas através da vida no nosso corpo material.
Depois regressaremos, em paz e na maior das liberdades, ao nosso estado natural e mais permanente de Espíritos. Não se esqueçam: com letra maiúscula, por todas as razões mais nobres e mais válidas.

Notas breves sobre o método de tradução que seguimos

Sendo o francês e o português línguas da mesma família latina, tivemos a preocupação de fugir ao critério erróneo da “tradução à letra”, respeitando o fundo e não a forma das palavras do grande livro, tal como os ensinamentos nele contidos recomendam. O autor teve o intuito de escrever um livro que fosse acessível a todos os leitores da sua época. Sabemos, contudo, as profundas modificações que registaram, entretanto, todas as técnicas de comunicação. A frase mais curta, a economia de recursos de carácter retórico e enfático, a sim­plificação dos tempos verbais e muitos outros meios, foram usados por nós para facilitar a aproximação aos leitores, respeitando, entretanto, o carácter próprio que foi conferido à obra pelo seu autor.
Para além das versões em português, procurámos esclarecer muitos dos seus aspetos através de traduções noutras línguas e da pesquisa de outras obras do mesmo autor.
Consultámos, por exemplo, a tradução em castelhano de Alberto Giordano, publicada na Argentina em 1970 e influenciada pela que foi feita pelo professor brasileiro José Herculano Pires, que também analisámos com cuidado; e a excelente tradução em língua inglesa da autoria da jornalista Anna Blackwell, profunda co­nhecedora da cultura espírita, que foi contemporânea e amiga da família Rivail du­rante o tempo que viveu em Paris. A edição de que nos servimos tinha por intuito revelar a obra de Allan Kardec no universo cultural anglo-saxónico e foi publicada em Boston em 1893, mas o prefácio da autora está assinado de 1875, em Paris.
Também lemos as conhecidíssimas traduções de Guillón Ribeiro, a seu tempo dirigente da Federação Espírita Brasileira que, quando pelas primeiras vezes nos vieram à mão, desde logo despertaram em nós a determinação de fazer uma tradução para português de Portugal dos nossos dias. Com o devido respeito por esse trabalho, não foi o modelo que procurámos seguir, por razões muito concretas, mas que não é oportuno detalhar nesta breve apresentação.

A escolha das palavras

Sabendo que as palavras têm alma, usámos uma estrutura lexical coerente com o carácter filosófico e moral da obra, no contexto da sua visão otimista da magnânima obra da criação e do glorioso destino da Humanidade.
No texto original de Allan Kardec, por tendências de época que serão compreensíveis e estão bem estudadas, é usado em certas passagens do Livro algum vocabulário herdado das teorias penalizantes do universo filosófico das antigas religiões.
O aproveitamento dessas expressões nas traduções dos dias de hoje, deixou em absoluto de fazer sentido. Prosseguimos, nesta edição, no uso de referências lexicais compatíveis com a cultura que nos orienta com todo o rigor moral e toda a exigência intelectual. Porém, com uma visão do mundo, que encoraje a conquista da paz e do progresso pelo raciocínio, e da ultrapassagem do erro pelo conhecimento racional. Para colocar esta questão plano histórico cultural, sugerimos a leitura da Nota Final nº 39, que trata da “queda do homem”, e do ensino primordial das religiões dogmáticas.

Allan Kardec

Hipólito Leão Denisard Rivail,

organizador dos ensinamentos dos Espíritos

No início deste prefácio de tradutores escolhemos a grafia do nome Hipólito Leão Denisard Rivail, com os dois nomes próprios traduzidos e Denisard com “s”, como está na sua certidão de nascimento. Fizemos isso por ser a versão que nos parece mais perto da nossa língua e, especialmente, porque nos temos habituado a pensar nele como um semelhante, nosso amigo íntimo.
O destino fez com que Hipólito Leão/Allan Kardec tivesse ficado sem biografia oficial propriamente dita, feita por um contemporâneo seu. Por algu­ma coisa foi: a obra é o que interessa, ditada por narradores invisíveis, configu­rada pelo autor que organizou a mensagem.
Vale muito a pena ler tudo o que deixou escrito, sobretudo este “Livro dos Espíritos”, trabalho estruturador da mensagem de que se encarregou. De cada vez que se lê, novas coisas se descobrem e melhor se entendem o todo e os por­menores. Será estudo útil para os que desejam encontrar o fio da vida, tantas vezes encarada como drama sem solução, e serem capazes de construir agora um destino que valha a pena, com alegria e entusiasmo, porque há um depois!…
Hipólito Leão começou a interessar-se pelo tema que iria tratar de forma tão brilhante e generosa numa posição distanciada de qualquer crença, outros- sim cuidadosamente positivista e até cautelosamente cético, numa idade de ple­na maturidade, apenas por ter sido insistentemente convidado por amigos para esse efeito.
O trabalho, que começou aos 55 anos de idade (numa época em que a esperança de vida era muito inferior à da atualidade), foi levado a cabo com de­dicação total, mediante um esforço hercúleo, sem medida, que de certa forma conduziu ao desenlace da sua vida.
Convém referir que o modelo expositivo que serve à estruturação de O Livro dos Espíritos, desenvolvido nas restantes obras de Allan Kardec, obedece ao formato que durante os séculos XVIII e XIX constituía os princípios da exposição cientifica clássica, definindo ordenadamente:

1° – A escolha do objeto de estudo, que se conclui ser o Espírito, tratado no Livro Primeiro (As Causas Primárias);
2° – A análise do objeto de estudo, ou seja, a consideração e avaliação de toda a fenomenologia que constitui a sua razão de ser, que é tratada no Livro Segundo (O Mundo Espírita ou dos Espíritos);
3° – O estabelecimento das leis que regulam esse conjunto de fenómenos, que é feito no Livro Terceiro (sobre as Leis Morais);
4° – A dedução das consequências da aplicação dessas leis, que é feita no Livro Quarto (sobre as Esperanças e Consolações).

O critério de Hipólito Leão, em todo o imenso trabalho que efetuou, nun­ca foi o de se promover pessoalmente à condição de dirigente ou autoridade ideológica e muito menos religiosa. A metodologia utilizada para a estrutura­ção do “corpus” de informações e saberes científico-filosóficos que levou a cabo foi isenta de segundos sentidos de proveito pessoal ou institucional.

O professor Hipólito Rivail desaconselhou os grandes coletivos espiritas

Obedecendo a critérios que foi enunciando em diversas intervenções, nunca favoreceu o agrupamento de grande número de adeptos em instituições federativas as quais, de antemão, declarou perniciosas, por facilitarem a arqui­tetura do poder e a manipulação das consciências.
Toda a realidade que se seguiu ao seu falecimento, quer em França, quer no estrangeiro, deu plena razão às previsões e avisos que formulou.
Os pequenos grupos de cidadãos, harmonicamente associados numa con­vivência produtiva de pensamento claro e de reta consciência, na obediência da razão crítica e do diálogo construtivo, formam o modelo mais claramente por si recomendado para constituir a sociedade espírita.
Em síntese, fique esclarecido que a obra traduzida e a filosofia que encerra oferecem uma visão otimista da vida, liberta de dogmatismo, verdadeiramente emancipadora da Humanidade e produtora de paz, na igualdade entre todos os seres humanos.
Consideramos ainda que O Livro dos Espíritos defende, com o máximo respeito, a integridade ecológica do planeta que habitamos, o direito à dignida­de, à justiça e à máxima felicidade de todos os seres que nele habitam.
A característica essencial desta tradução, que sugere a passagem de toda a obra de Kardec para o português de Portugal/2018, num clima cultural aberto, é propor o regresso metódico a uma obra muito conhecida pelo seu nome, mas escassamente debatida; abrindo o seu acesso, se possível, a novos públicos e a jovens inquietos pelo grande mistério da sua origem e do seu destino.
Para esta terceira edição foram cuidadosamente revistos e ampliados os seus conteúdos de referenciação cultural, além de se ter procurado com mais abertura uma versão mais próxima da nossa linguagem de todos os dias, usando as prodigiosas qualidades estético-culturais de que dispõe a magnífica língua portuguesa.
Consideramos, não obstante, que a nossa tarefa de ler atentamente o que nos deixou Allan Kardec, não fica por aqui. A sua leitura em português dos nossos dias faz parte de um debate de ideias que gostaríamos de ver par­tilhado e enriquecido pelo maior número de leitores, espíritas e não espíritas.

O destino adequado para O Livro dos Espíritos não é permanecer imóvel, como peça sacralizada de ideias petrificadas. Julgamos que deve ser entendido por todos os seus leitores de antes, de agora e do futuro, como uma obra ener­gicamente VIVA e justificadamente ABERTA.

Entregamo-lo a todos os prezados leitores com os melhores votos de feliz e proveitosa leitura

José da Costa Brites e Maria da Conceição Brites
Setembro de 2018

Experiências de Quase Morte

Este longo e muito elucidativo trabalho foi publicado pelo conhecidíssimo divulgador de fenómenos relacionados com a vida após a morte, Dr. Victor Zammit.
Ver a notícia inserida ao fundo desta mesma notícia, pesquisada no seguinte endereço:
http://www.victorzammit.com/index.html.
O nosso trabalho foi adaptado para a nossa linguagem de português de Portugal, com pequenas intervenções no texto.
NOTA: há algumas falhas no final do artigo de que pedimos desculpa. Em breve serão rectificadas

À medida que a tecnologia e a medicina evoluem, muitas pessoas morrem em determinadas condições, regressando imediatamente à vida pelo recurso às tecnologias da ressuscitação. Muitas dessas pessoas tiveram depois a oportunidade e o desejo de descrever as suas vivências durante esse processo, designado em língua portuguesa como EQM – “Experiência de Quase Morte” e, em língua inglesa como NDE – “Near Death Experience”.

Milhões de pessoas em todo o mundo já passaram por  esse tipo de experiência. Em 1983, uma grande pesquisa americana feita por George Gallup Junior relatou que cerca de cinco por cento da população adulta já havia experimentado uma dessas EXPERIÊNCIAS DE QUASE MORTE (Gallup 1983).
Os estudos que têm sido feitos em todo o mundo revelam que esse tipo de experiências são idênticas para todos os seus protagonistas, independentemente de diferenciações compreensíveis de ordem cultural, conforme os que as descrevem: O estudo de Margot Grey sobre as EQMs na Inglaterra (Gray 1985); O estudo de Paola Giovetti na Itália (Giovetti 1982); Estudo de Dorothy Counts na Melanésia (Counts 1983); Estudo de Satwant Pasricha e Ian Stevenson (1986) na Índia.

Essas experiências têm acontecido ao longo da história da humanidade, mas foi apenas nos últimos trinta anos que as pessoas na cultura ocidental se sentiram seguras para falar sobre elas.

O que acontece
– uma experiência típica

Experiência de um homem que teve um ataque cardíaco e se vê fora do corpo: Descobre que não pode ser ouvido; vê um familiar, mas este diz que ainda não é hora de ele morrer; entretanto, regressa ao corpo, o que lhe revela que existe uma vida após a morte.

NOTA: Os originais destas gravações foram todas feitas em inglês. O Youtube facilita a apresentação de legendas em português, solicitando isso no rodapé do vídeo, à direita.


http://www.youtube.com/watch?v=bqInhGpECak

Dr. Jeff e Jody Long apresentam seis experiências de quase morte. O Dr. Jeffrey Long, autor de Evidence of the Afterlife: The Science of Near-Death Experiences , fornece contexto e descreve alguns dos principais recursos associados às experiências de quase morte.


O Holandês Dr. Pim Van Lommel fala sobre consciência durante uma EQM

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Dezasseis razões pelas quais as experiências de quase morte (EQMs) não são alucinações ou efeitos do cérebro moribundo:

1. Os sobreviventes de EQM têm memórias claras do que lhes aconteceu, que recordam por toda a vida.
Os pacientes que não tiveram uma EQM, ficam muito confusos e de nada se lembram.
O Dr. Eben Alexander foi levado à beira da morte e passou uma semana em coma devido a uma inexplicável infecção cerebral. No seu best-seller, “Prova do Céu, Jornada do Neurocirurgião para a Vida após a morte”, descobriru a realidade desse reino espiritual, que muitos relataram em EQMs.

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http://www.youtube.com/watch?v=qZqTSBvwRQo

O Dr. George Richie estava no exército para ir para a escola de medicina em Richmond em 1943. Estava muito doente e foi declarado morto por pneumonia. Teve uma EQM extremamente detalhada e vívida.
http://www.youtube.com/watch?v=ruKjIrejDCk

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O mistério da percepção durante as experiências de quase morte – Dr. Pim van Lommell (Conferência, Ciência e não Dualidade 2013)


2. Considerando que as alucinações são todas diferentes, as Experiências de Quase Morte são muito semelhantes em diferentes culturas e ao longo da História.
Houve experiências de Quase Morte que foram relatadas em todas as culturas, até na Antiguidade.
O mito de Er é uma história que Platão contou no seu livro “A República”. Trata-se de um relato, transmitido oralmente, de alguém que retornou do Hades, o céu. Revela um lugar cósmico, fundamentalmente moral, na ordem de uma teleologia vinculativa para todos os humanos. Ao longo dos séculos, houve muitos outros fenómenos desse tipo.
Enquanto duas EQM’s não são iguais, todas seguem o mesmo padrão geral e têm os mesmos efeitos colaterais de transformação moral e cultural.

3. As pessoas veem e ouvem coisas enquanto estão inconscientes que seriam impossíveis numa existência normal.
Uma grande percentagem de pessoas que passaram por Experiências de Quase Morte conseguem descrever exatamente o que lhes aconteceu enquanto estavam inconscientes. Sabem quem estava presente e com quem falaram, mesmo à distância. Os pesquisadores consideram-nas experiências verídicas, pelo conjunto de detalhes comprováveis pelos outros assistentes que os protagonistas referem. Além de descrever as suas experiências, muitos dos protagonistas viram, fora do corpo, o que se passava na sala de cirurgia, quando estavam a ser assistidos. Neste vídeo, o famoso cirurgião cardíaco Dr. Rudy fala sobre um caso de EQM em que o paciente estava morto, mas foi capaz de descrever tudo o que aconteceu na sala de cirurgia, incluindo as notas com mensagens no monitor do computador do cirurgião.

Assistir ao vídeo:
https://www.youtube.com/watch?v=JL1oDuvQR08

O Dr. Michael Sabom descobriu que 80% de seus pacientes que tiveram um ataque cardíaco sem ter uma EQM não conseguiam descrever como foram revividos. Mas nenhuma pessoa do grupo que testemunhou o que aconteceu fora de seus corpos cometeu um erro ao descrever o procedimento (Sabom 1980).

O Dr. Pim Van Lommel conta o caso de um paciente que, embora inconsciente, afirmou ter visto onde uma enfermeira colocou a sua dentadura. Uma semana depois, o paciente reconheceu a enfermeira e pediu sua dentadura de volta (Van Lommel et. Al. 2001).

Al Sullivan viu seu cardiologista, Dr. Takata, agitando os braços enquanto estava na sala de cirurgia, algo que seria impossível para ele ver ou saber.

Um novo livro de Titus Rivas (Autor), Anny Dirven (Autor), Rudolf H. Smit (Autor), Robert G. Mays (Editor), Janice Miner Holden (Editor):
Este livro contém mais de 100 relatos confiáveis, muitas vezes em primeira mão de percepções durante as EQMs que mais tarde foram verificadas como precisas por fontes independentes:
The Self Does Not Die: Verified Paranormal Phenomena from Near-Death Experiences
Paperback – 6 de julho de 2016

4. As pessoas voltam de uma EQM com fatos precisos que não conheciam antes.
Existem muitos relatos de pessoas que tiveram experiências de quase morte e voltaram com fatos que não sabiam antes.
Emily Kelly relatou um caso em que um homem ficou entusiasmado ao ver pela primeira vez as fotos do pai morto da sua esposa. Identificou-o na sua EQM, antes mesmo de a ter conhecido.(Greyson 1998).
O russo George Rodonaia saiu do corpo enquanto estava inconsciente como resultado de um acidente. Foi para o hospital onde a esposa de um amigo acabara de dar à luz uma filha. O bebé estava a chorar e ele percebeu que a criança tinha uma fractura no quadril. Comunicou mentalmente com a mãe e ela disse-lhe que esse acidente tinha acontecido logo após o nascimento, quando uma enfermeira deixou cair a criança. Vários dias depois, quando se recuperou o suficiente para falar, as primeiras palavras de George Rondonaia alertaram os médicos sobre a criança com o problema que observara. Os médicos tiraram raios-X ao menino e todos os fatos que ele tinha referido no estado de inconsciência eram reais. (Atwater 2007: 165).

5. Pessoas relatam encontros com parentes que não sabiam que estavam mortos. Em todos os casos, eles estão corretos.
O Dr. Kübler-Ross falou sobre uma garota que se feriu num acidente de automóvel. Ninguém lhe disse que a sua mãe e o seu irmão tinham morrido nesse mesmo acidente. Porém, a menina viu-os já na vida espiritual, durante a sua EQM.
Mesmo o Dr. Kübler-Ross não sabia que o irmão e a Mãe tinham morrido apenas dez minutos antes da menina ter tido a EQM (Kübler-Ross 1997).Ian Stevenson (1959) publicou um caso semelhante.
Na Inglaterra, o primo de certo homem, morrera sem que ninguém nos Estados Unidos soubesse disso. Durante uma EQM que teve, esse homem viu o seu primo no mundo espiritual, tendo desse modo sabido da sua morte. Só algum tempo depois recebeu da Inglaterra um telegrama anunciando a morte do primo. (Stevenson, 1959).
PMH Atwater relata o caso de uma mulher que conversou com seu pai durante uma EQM pela qual passou. Nem ela nem ninguém da família sabia do acontecido, que só mais tarde foi confirmado. (Atwater 2007: 164).

6. Algumas pessoas voltam com conhecimento exato do futuro.
Em alguns casos, as pessoas vêem a sua família em dois futuros possíveis: um em que a pessoa permanece na vida após a morte e outro em que ela retorna à sua vida (Atwater 2007).
Alguns veem os filhos que vão ter (Eadie 1992).
Outros têm visões sobre eventos mundiais, mas dizem que foram informados de que eles são apenas futuros possíveis.
Dannion Brinkley escreveu com antecedência sobre: ​​
– a derrota dos EUA na Guerra do Vietnam;
– a eleição de um presidente americano com o RR inicial (Ronald Reagan);
– turbulência no Oriente Médio;
– o desastre de Chernobyl em 1986;
– a Guerra da Tempestade no Deserto contra o Iraque em 1990 (Brinkley e Perry, 1994).

7. Algumas pessoas voltam com conhecimento avançado consistente com a física quântica.
Quase todos os sobreviventes dizem que entraram numa dimensão em não havia tempo e muitos foram capazes de voltar e avançar no tempo.
Olaf Swenson diz que foi por causa do conhecimento que ganhou durante sua EQM que mais tarde desenvolveu mais de 100 patentes em química subatômica (Morse sd).
Mellen-Thomas Benedict trouxe da sua EQM uma grande quantidade de informações científicas e afirmou que esse conhecimento foi a base de seis patentes americanas que registou. (Benedict 1996).

8. Algumas pessoas são curadas de doenças fatais durante uma EQM ou recuperam milagrosamente de ferimentos graves.
Mellen Thomas-Benedict, morreu em 1982 com um cancro. Depois do falecimento, e durante uma hora e meia ficou sem sinais de vida. Milagrosamente, voltou ao corpo depois de ter passado por uma EQM completa. Três meses depois, o seu corpo não revelava nenhum sinal do cancro (Benedict 1996).

Anita Moorjani estava perto de morrer com um cancro. Quando voltou da sua EQM, ela teve uma recuperação total da saúde.(Moorjani 2012).

Elisabeth Kübler-Ross conta a história dramática de um homem cuja família inteira morreu num terrível acidente. Depois disso, tornou-se alcoólatra e abusador de drogas até ser atropelado por um carro. Numa EQM que teve, viu toda a sua família bem e feliz na vida, depois da sua morte. Elisabeth escreveu:
” Reentrou no corpo físico, que se encontrava numa sala de emergência, arrancou as correias que o prendiam, e saiu dali. Nunca teve delirium tremens ou quaisquer efeitos posteriores devido ao abuso de drogas e álcool.” (Kübler-Ross 1991).

9. Os cegos podem ver durante a EQM
Em seu livro “Mindsight”, o Dr. Kenneth Ring e Sharon Cooper relatam entrevistas detalhadas com 31 pessoas que eram total ou parcialmente cegas e tiveram uma EQM durante a qual tinham a capacidade da visão.
Vicki Noratuk, que era cega de nascença, nem conseguia ver o preto. Durante sua EQM, podia ver pela primeira vez na sua vida. Reconheceu a sua aliança de casamento e o seu cabelo. Também viu pessoas feitas de luz – mas nunca vira luz antes (Ring e Cooper, 1999).

Elisabeth Kübler-Ross também entrevistou pacientes cegos que eram capazes de ver perfeitamente enquanto estavam “mortos” e fora do corpo (Kübler-Ross 2005).

10. Algumas pessoas têm EQM em grupo.
Em 1996, Arvin Gibson entrevistou um bombeiro chamado Jake, que teve uma EQM enquanto trabalhava com outros bombeiros, numa floresta, durante um incêndio que os vitimou. Vários colegas estavam a passar por uma EQM. Reconheceram-se e viram-se acima dos seus corpos sem vida. Todos sobreviveram e puderam confirmar que a experiência tinha sido uma realidade. A EQMde Jake é contada no livro de Arvin Gibson, “The Fingerprints of God”. Consulte Mais informação…

11. Algumas pessoas têm experiências de quase morte quando não há nada fisicamente errado com elas.
Pesquisadores descobriram que meditação profunda, visões no leito de morte, relaxamento, visão psíquica, projeção astral, transe, olhar no espelho e movimentos dos olhos podem desencadear elementos de EQM (veja o site de Kevin Williams, near-death.com).

12. Alguns espectadores que não têm nada de errado com eles podem compartilhar e verificar a experiência de quase morte de outra pessoa.


Raymond Moody fala sobre experiências de morte compartilhada

13. Algumas pessoas têm uma experiência de quase morte quando estão em morte cerebral completa.
As alucinações só podem ocorrer quando as pessoas têm o cérebro em funcionamento, com a capacidade de registar um Electroencefalograma. As EQM acontecem a pessoas cujos cérebros não se encontrava a funcionar. Nessas ocasiões, as pessoas não deveriam ter memória, mas as EQMs vividas são recordadas pelas pessoas mesmo anos depois.
Pam Reynolds precisava de uma operação arriscada para corrigir um ponto fraco na parede de um vaso sanguíneo no cérebro. Numa operação cirúrgica que fez para esse efeito, a sua temperatura corporal foi baixada em 60 graus, o batimento cardíaco e a atividade cerebral foram interrompidos e o sangue circulou por uma máquina. Nada poderia ter visto porque os seus olhos foram fechados com fita adesiva, não conseguiria ouvir, porque os seus ouvidos estavam cobertos por tampas de plástico e sons medindo 90 decibéis eram-lhe continuamente aplicados. Depois disso foi reiniciado o seu funcionamento cardíaco e o seu corpo aquecido. Entretanto, depois de tudo isso, relatou que tinha sido capaz de ver, ouvir e sentir o que lhe tinha acontecido. Descreveu detalhes da operação que lhe foi feita posteriormente. Foi capaz de se lembrar dessa longa e complexa EQM que aconteceu durante um período em que não tinha tido a mínima actividade cerebral (Sabom 1998).

O corpo de George Rodonaia foi armazenado no congelador de um necrotério de hospital por três dias. Mais tarde o seu corpo foi aberto para uma autópsia. Entretanto, enquanto tinha estado “morto”, viu a sua esposa fora do hospital, selecionando seu túmulo e considerando casar-se de novo.(Atwater 2007: 166). {Veja o vídeo no ponto 4 acima}

Eben Alexander é um neurocirurgião académico que teve uma EQM. Estava inconsciente de meningite severa que destrói tudo, exceto as funções cerebrais humanas mais básicas. Revelou depois que, por mais de uma semana, esteve virtualmente em morte cerebral, tendo registado uma complexíssima EQM que não poderia ter sido criada por sua atividade cerebral (Alexander 2012).

14. Muitas pessoas passam por uma ‘revisão de vida’ durante a qual vêem suas vidas da perspectiva de outras pessoas.
O Dr. Kenneth Ring e outros pesquisadores mostram que uma característica chave da revisão de vida é que as pessoas não veem suas vidas de seu próprio ponto de vista. Não é como reproduzir uma gravação de vídeo. Em vez disso, veem-nas da perspectiva de todos os outros com quem interagiram. Abordam os sentimentos e memórias das outras pessoas envolvidas. São coisas que não teriam como saber normalmente (Ring e Valarino 1998).

15. As sequelas de uma EQM são únicas e duradouras.
Outras pessoas que estão perto da morte também teriam uma substância química liberada por um cérebro moribundo, mas elas não vivenciam uma EQM ou os mesmos efeitos de longo prazo. Consulte mais sobre os efeitos das EQMs nos seguintes endereços:
site IANDS site / near-death.com.

Os efeitos psicológicos mais comuns (experimentados por 80-90% dos sobreviventes adultos) são muito reconhecíveis.
Cherie Sutherland, uma pesquisadora australiana, entrevistou 50 sobreviventes de EQM em profundidade. Descobriu que os efeitos nas vidas dos sobreviventes foram notavelmente consistentes e bastante diferentes dos efeitos das alucinações induzidas por drogas ou produtos químicos.
Em Transformed by the Light (1992), identificou muitos efeitos que foram confirmados por outros estudos, por exemplo, Ring (1980 e 1984) Atwater (1988). Isso inclui:
• uma crença universal na vida após a morte.
• uma alta proporção (80%) agora acreditava na reencarnação.
• ausência total de medo da morte.
• uma grande mudança da religião organizada para a prática espiritual pessoal.
• um aumento estatisticamente significativo na sensibilidade psíquica.
• uma visão mais positiva de si mesmo e dos outros.
• um desejo crescente de solidão.
• um maior senso de propósito.
• falta de interesse no sucesso material, juntamente com um aumento acentuado no interesse pelo desenvolvimento espiritual.
• cinquenta por cento experimentaram grandes dificuldades em relacionamentos íntimos como resultado de suas prioridades alteradas.
• um aumento da consciência sobre a saúde.
• a maioria bebeu menos álcool.
• quase todos pararam de fumar.
• a maioria desistiu de medicamentos prescritos.
• a maioria assistia menos televisão.
• a maioria lê menos jornais.
• um maior interesse na cura alternativa.
• um maior interesse em aprendizagem e auto-desenvolvimento.
• setenta e cinco por cento experimentaram uma grande mudança de carreira, na qual se mudaram para áreas de ajudar os outros.
PMH Atwater afirmou que os pesquisadores de EQM’s concluiram que pelo menos 75% a 78% dos adultos casados que tiveram EQM’s se divorciaram dentro de sete a dez anos depois dessa experiência (2007: 89).

A seguir, um exemplo de alguém que mudou completamente como resultado de sua experiência de quase morte:
Vídeo: RESURECTED MILLIONAIRE não se preocupa com dinheiro!
* o pesquisador explica que, depois de uma EQM, as pessoas mudam;
* Gordon Allen era um empresário de muito sucesso que amava dinheiro;
* adoeceu com pneumonia e sentiu-se deixando o corpo.
* ele sentiu um amor avassalador
* conheceu três seres espirituais elevados que se comunicaram com ele como um irmão muito querido
* foi-lhe dito que os talentos que lhe foram dados visavam um propósito superior de ajudar os outros
* quando voltou, sentiu que o seu coração estava a arder de amor
* ligou para todas as pessoas que conhecia, pediu desculpa e pediu perdão por não os ter amado como deveria ser.
* Agora é um conselheiro ajudando pessoas desfavorecidas.
* pesquisador afirma que essas mudanças são muito comuns.
* Gordon diz que sua vida agora é muito mais rica do que antes.

Assista ao segmento do vídeo The Day I Died – em 41 minutos.

PMH ATWATER FALA SOBRE OS EFEITOS DEPOIS DE NDES

16. Sobreviventes de EQM tornam-se muito mais sensíveis psíquicamente.
Um estudo americano independente do Dr. Melvin Morse descobriu que os sobreviventes de EQM têm três vezes mais experiências psíquicas do que a população em geral. Frequentemente, não podiam usar relógios e costumavam ter problemas para usar eletricidade – os seus computadores portáteis entrariam em curto-circuito e seus cartões de crédito deixavam de funcionar. (Morse 1992). Também descobriu que adultos que tiveram EQM’s deram mais dinheiro para caridade do que outros, eram mais propensos a fazer trabalho voluntário na comunidade, trabalharam mais em empregos onde poderiam ajudar as pessoas, não abusavam de drogas e comiam mais frutas frescas e vegetais do que outras pessoas (Morse 1992).
Um grande número de médiuns e médiuns de ponta afirmam que as suas habilidades foram ativadas ou estimuladas por EQMs: Debbie Malone, Susanne Wilson, Joe McMoneagle, Edgar Cayce,

Na internet:
Experiências de quase morte e vida após a morte
Compilado por Kevin Williams, esta página é uma conquista notável e é de longe o recurso mais abrangente sobre EQMs. Contém exemplos de experiências de quase morte (EQMs) de muitas culturas e links excelentes.


New Heaven New EathRede de experiências de quase morte – um site maravilhoso e abrangente com uma lista exaustiva de vídeos de EQM.

NDE Accounts- coleção de vídeos e
The International Association for Near-Death Studies
São sites com muitos relatos de EQM em muitos países. Têm seção de perguntas e respostas e links para a maioria dos melhores sites sobre o assunto.

Para obter mais detalhes e assistência para lidar com as consequências de um EQM, entre em contato com a International Association for Near Death Studies. http://www.iands.org/aftereffects.html

Para obter ajuda na compreensão de uma EQM assustadora consulte: http://www.iands.org/scary.html#talkto

Fundação de Pesquisa de EQM – Entrevista – Dr. Jeffrey Long em Coast to Coast.

The Website of PMH Atwater
Um dos pesquisadores originais no campo dos estudos de quase morte. PMH Atwater começou seu trabalho em 1978. Nove livros foram publicados desde então sobre suas descobertas.

Dr. Peter Fenwick- Skeptico
Estudo AWARE do Dr. Sam Parnia

Documentário da BBC – O dia em que morri – não é um
dos melhores documentários feitos sobre Experiências de Quase Morte, pela BBC. Apresentando muitos cientistas importantes que estudaram EQMs e outros incidentes relacionados. Alegadamente, a BBC recusou-se a reproduzir este documentário e impediu que fosse vendido como DVD devido à pressão da censura científica.

Partida prematura – Documentário francês sobre EQMs

Eben Alexander em EQMs negativas

Eben Alexander em uma visão modificada da realidade

Apresentação de slides

Outros bons vídeos de EQM online
EXPERIÊNCIA DE QUASE MORTE DE UM NEUROCIRURGIÃO
Em uma entrevista recente com Alex Tsakiris, o Dr. Eben Alexander explica como ele não conseguiu encontrar qualquer explicação fisiológica para o que aconteceu com ele e concluiu que a mente é independente do cérebro.

DR MELVIN MORSE EXPERIÊNCIAS DE PERTO DA MORTE NUMA SOCIEDADE ESPIRITUALMENTE POBRE
” Eu não “acredito” em experiências de quase morte. É minha opinião que a pesquisa científica valida que as experiências de quase morte são reais. A ciência de 2011 indica que todos nós temos um “ponto de deus” ou (de acordo com Mario Beauregard MD) um “cérebro de deus” que nos conecta com o divino, o domínio de todo o conhecimento atemporal e sem espaço.”

Parte 2
https://www.youtube.com/watch?v=-wDdnfYNQgM




SURVIVING DEATH – um pequeno documentário destacando 3 EQMs

 http://www.youtube.com/embed/pgBdf1GqNlA?list=PLkvfKrW6cwjh65uVMQps0yqf77ZhCREw5

Victor Zammit. advogado, resume as provas.
  



MELHORES documentários completos


VIDA APÓS A VIDA


ALÉM DA NOSSA VISTA


O DIA EM QUE MORRI- BBC DOCUMENTARY
https://vimeo.com/176601336
Whitecrow commentary


5th Dimension: Near Death Experience
https://www.youtube.com/watch?v=4mL- 2f4FNPs&list=PLt0F07xkyGs5tJQSZPky1B2P5nQdPmi4r


JEFFREY MISHLOVE ENTREVISTAS DR KENNETH RING
https://www.youtube.com/watch?v=DJIfxwrDs40


GRANDE LISTA DE VÍDEOS NDE
http://www.nderf.org/NDERF/Video_audio/multimedia.

Victor Zammit, Ph.D.

Bio

Victor James Zammit has a B.A. in Psychology, Graduate Diploma in Education, M.A. in Legal History and Constitutional Law, Bachelor of Laws degree, and Ph.D. in law. He is a retired attorney (solicitor/barrister) of the Supreme Court of the New South Wales and the High Court of Australia.

Victor was initially suspicious of the New Age Movement for what appeared to be its blatant commercial exploitation of people’s basic instinctual tendency for spiritual development. However after many years as an open-minded skeptic he had a number of repeated psychic and mediumistic experiences which set him questioning, reading and researching. Adopting a scientific criterion, Victor was able to select that information which could withstand and pass the many rigid tests of repeatability and objectivity.

Victor is now a full-time writer and researcher on empirical evidence for the afterlife. His new book, A Lawyer Presents the Evidence for the Afterlife, now a best selling book on Amazon, is widely acclaimed as one of the clearest and most complete reviews of the evidence for the afterlife.

His weekly newsletter on the afterlife and afterlife communication is read by thousands of people around the world.

This is Victor’s description of his conference presentation:

Over the last few decades we put a lot of emphasis on “proving the afterlife.” But what has urgently emerged is the shock realisation that atheists in the United States make up only some 5 percent of the population, whereas those with very powerful traditional beliefs about punishment, judgment and the afterlife who strongly oppose and try to stop our progress make up more than 60 percent. We need to look into this very closely.

We do have highly competent afterlife investigators and other highly qualified researchers who can effectively deal with the open-minded skeptics: the 5 percent. But priority has to be immediately shifted to persuasively show that traditional religious beliefs about judgment, punishment, and the afterlife are fundamentally wrong.

I will show that these days highly credible intelligences directly from the afterlife tell us what really happens when we cross over, traditional punishment does not exist, there is no divine judgment, and the afterlife is totally different from what people have been conditioned to accept for nearly 2,000 years.

I will be discussing very briefly and matching up the evidence from six major areas of modern investigation of what happens when you die in the context of punishment and judgment:

  • Near-Death Experiences or NDEs
  • Out-of-body journeys
  • Mental mediumship
  • Between life regressions
  • Transmissions from spirit teachers of high degree speaking through mediums, channellers and automatic writers
  • Revelations through physical mediumship
  • The major part of my speech will focus on information about judgment and punishment given in direct communication with entities who have physically materialised in the Circle of the Silver Cord.

Our perception of the world is by and large determined by our environmental conditioning. Our conditioning is man-made and is subject to fundamental errors. Inevitably, our early conditioning shapes our beliefs. For nearly 2,000 years the West has entrenched in its culture, history and tradition–all of which to-day directly affect our decision making processes especially in punishment, judgment and the afterlife.

Contemporary psychic empirical research in punishment, judgment and the afterlife has produced results which are fundamentally inconsistent with the traditional beliefs in punishment, judgment and the afterlife.

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