Questionner l’existence

Cercle Spirite Allan Kardec

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Questionner l’existence


Éclairant les grandes questions existentielles de l’être humain sur l’origine et le sens de la vie, le spiritisme répond à l’essence même du message humaniste et propose une formule de partage, de liberté, et d’émancipation pour tous les êtres humains, tous les peuples sans distinction.

Champ inépuisable de réflexion, la philosophie spirite découle de la manifestation des esprits et apporte des réponses aux questions existentielles du sens de la vie, de son origine et de la place de l’être humain dans la société.

Le spiritisme résulte de l’enseignement de milliers de communications avec des personnes décédées appelées esprits. Domaine d’expérimentation depuis les années 1850, il est basé sur l’observation et l’analyse des manifestations produites par ces esprits, par l’intermédiaire de personnes ayant une sensibilité particulière appelées médiums.

Le souhait universel des esprits est que chaque être humain évolue intellectuellement, moralement et spirituellement tout en participant à la transformation progressive de l’humanité.

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« Ne souffrant d’aucune sorte de dogme ni de rite initiatique, le spiritisme s’adresse à tous les Hommes avides de connaissance et d’émancipation morale et intellectuelle »

Extrait de message spirite d’Allan Kardec (Mars 1985)

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Décrypter des phénomènes inexpliqués Le spiritisme se définit comme une science d’observation, s’intéressant aux phénomènes inexpliqués et délaissés par la science matérialiste, dans une réelle démarche d’analyse à caractère scientifique.Démystifiant les mécanismes de la vie et de la mort, de l’existence de l’esprit et de sa destinée, des interactions entre le monde des morts et le monde des vivants, le spiritisme traite de la nature, de l’origine, et de la destinée des esprits, ainsi que leurs rapports avec le monde matériel.Du milieu du 19e siècle jusqu’aux années 30, de nombreux scientifiques ont étudié minutieusement les phénomènes spirites, apportant les preuves de l’existence de l’esprit au-delà de la matière par multiples expériences, sous couvert de protocoles expérimentaux rigoureux.La somme de tous ces enseignements a permis d’approfondir les lois spirites quant aux facultés psychiques et phénomènes médiumniques, apportant un éclairage inédit sur la capacité des esprits, l’impact de la force pensée, et les possibles contacts avec les esprits désincarnés.
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Un changement d’état Que deviennent les décédés une fois que le voile de la mort a éteint le dynamisme de la vie ? Où sont passés nos proches et ceux que nous avons tant aimés ?Celles et ceux que nous avons aimés, à qui nous continuons de penser, peuvent nous entendre, nous comprendre, nous suivre, et parfois peuvent sans doute nous faire des signes. Peu importe la manière qui dépend surtout des circonstances et leur latitude à se manifester, c’est leur façon à eux de nous interpeller.Beaucoup quittent leur corps et passent le tunnel de lumière, rejoignant cet au-delà à la rencontre de leurs amours passées ou présents. Ils continuent d’apprendre dans leur nouvel état afin poursuivre leur chemin d’évolution. Ils peuvent alors avoir envie de dire ce qu’ils pensent et ce qu’ils découvrent, manifestant leur enthousiasme à affirmer leur survivance et que tout continue malgré l’absence et la séparation physique.
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Percevoir au-delà

La médiumnité est une sensibilité exacerbée qui permet à certaines personnes appelées médiums d’être réceptifs aux manifestations des esprits et d’en être les intermédiaires

A partir des enseignements du spiritisme et selon l’expérience acquise au sein de notre structure, nous distinguons trois grandes catégories essentielles en médiumnité permettant un effet intelligent : les médiumnités intuitives ou semi-automatiques, les médiumnités par automatismes, et les médiumnités faisant intervenir un phénomène de transe.

Aucune échelle de valeurs n’est établie entre toutes ces formes de médiumnité, car tout mode de communication, s’il est correctement développé et pratiqué, permet aux esprits de s’exprimer et d’apporter des informations dans la richesse et la complémentarité entre ces différentes facultés.

La diversité des médiumnités est alors un avantage, permettant aux esprits d’utiliser tous les modes possibles de l’expression humaine, tels la parole et le geste, l’écriture, le dessin, la peinture, la sculpture, la musique.

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Renaître encore Parmi les principes fondamentaux de la pensée spirite, la réincarnation correspond à l’addition d’expériences de vie différentes et nécessaires au développement de la morale et de l’intellect de chaque individu.La réincarnation répond à une évolution positive de l’esprit. Au fil de nos vies successives sur de multiples mondes habités d’évolutions différentes, l’âme se transforme alors progressivement et évolue en connaissance et en moralité. Chaque vie est une nouvelle expérience qui nous met au contact de nos semblables, celles et ceux que nous avons connus antérieurement ou non.Chaque vie est ainsi l’apprentissage de choses nouvelles, faite de réalisations différentes à atteindre, confrontant l’être à de multiples expériences dans le contexte d’une société, d’une culture, ou d’une civilisation.
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« Naître, mourir, renaître encore, et progresser sans cesse, telle est la loi. »

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Allan Kardec

Un mouvement structuré

Notre cercle s’inscrit dans la continuité évolutive du mouvement spirite, fondé par Allan Kardec en 1858, et poursuit les expériences de communications avec les esprits, assurant le renouveau d’un propos actualisé à la lumière des esprits.

L’histoire du Cercle Spirite Allan Kardec débute en 1974. Il est un organisme à but non lucratif (loi 1901) représenté aujourd’hui à Nancy, Paris, Besançon, Belfort, Montpellier-Béziers, Toulouse, et Lyon.

Disposant d’une structure appropriée et expérimentée, la mission principale de l’association est de promouvoir la diffusion de la pensée spirite au travers de livres, d’une revue trimestrielle “Le Journal Spirite”, d’événements proposés au public (conférences, forums, expositions, etc). Les membres adhérents sont des bénévoles issus de tout milieu, ayant le désir d’apprendre, d’étendre leurs connaissances, de participer à ce renouveau spirite, et de répondre par un engagement sincère et volontaire aux buts que s’est fixée l’association.

ARTIGO VISTO EM: https://www.spiritisme.com/spiritisme

OS PIONEIROS DO ESPIRITISMO

Sugiro aos visitantes que descarreguem a revista acima, que obtive na internet há anos, descarregando-a de um site magnífico da CEPA, que já não existe. A tradução para o castelhano era de uma generosa senhora que já faleceu, de cujo nome não me lembro (as grandes generosidades são quase sempre anónimas…).
O conteúdo da revista deve ser cuidadosamente lido e apreciado, contendo a partir da página 12, artigos de muito valor, sobre os seguintes homens de ideias:

ALEXANDRE AKSAKOV – UN PIONERO RUSO DEL ESPIRITISMO ADELANTADO A SU TIEMPO
GABRIEL DELANNE (1857-1926) EL CONTINUADOR DEL ESPIRITISMO
LOS EXPERIMENTOS DE ALBERT DE ROCHAS
CHARLES RICHET Y EL NACIMIENTO DE LA METAPSÍQUICA
CAMILLE FLAMMARION
, ASTRÓNOMO Y ESPÍRITA
GUSTAVE GELEY(1868-1924)
PAUL GIBIER UN DOCTOR RIGUROSO
RUFINA NOEGGERATH
Alfred Russel Wallace (1823-1913)
VICTORIEN SARDOU – EL ARTISTA ILUSTRADO
ALPHONSE BOUVIER, ESPIRITUALISTA Y HUMANISTA
ARTHUR CONAN DOYLE – EL SHERLOCK HOLMES DEL MÁS ALLÁ
LE DOCTEUR DEMEURE
WILLIAM CROOKES

HENRI REGNAULT – Y EL SECRETO DE LA PERFECTA FELICIDAD
EL CÍRCULO ALLAN KARDEC
Ernest Bozzano (1862-1943)

E outros conteúdos de muito valor!…


El espiritismo antes de Allan Kardec, los precursores

Si bien el campo de investigación espírita referente al mundo de los espíritus encontró su enfoque hace más de 150 años, es evidente que los fenómenos de orden espírita han ocurrido desde los tiempos más lejanos de la historia de la humanidad. 

El mundo invisible se adapta a las civilizaciones, las épocas y las comarcas, donde las prácticas se remiten a la magia y las ceremonias revisten el aspecto de cultos.
A ratos se mezclan las almas de los antepasados, los dioses familiares, las intervenciones o fenómenos milagrosos, y el carácter o núcleo científico del hecho manifestado (núcleo que Allan Kardec se esforzó por poner en evidencia) es ahogado por las creencias y la religiosidad que lo envuelven a falta de algo más elaborado y más codificado.
Es pues difícil sintetizar de manera exhaustiva lo que precedió a Allan Kardec.

Sin embargo, es interesante señalar aquí y allá en la historia moderna de los hombres, tentativas de análisis de estas experiencias y hechos espíritas empíricos, por lo menos existe un conjunto de actas, tratados y textos que quieren recolectar y reunir lo vivido al respecto por el hombre, a falta de tener aún el material y la metodología para comprenderlo.

De manera anecdótica, podemos citar la publicación en 1475 en la Suiza alemana, en Burgdorf
específicamente, de un Tractatus de apparitionibus post exitum del teólogo polaco Jacques Junterbuck.
Citemos también un mamotreto de mil páginas publicado en Angers en 1586 por el demonógrafo Pierre Le Loyer y titulado (¡respiren profundo!): Discursos e historias de los espectros, visiones y apariciones de los espíritus, ángeles, demonios y almas, haciéndose visibles a los hombres, dividido en ocho libros, los cuales por las visiones maravillosas y prodigiosas apariciones ocurridas, tanto sagradas como profanas, se manifiesta la certeza de los espectros y visiones de los espíritus, y se entreabren las causas de las diversas clases de apariciones de éstos, sus efectos, sus diferencias y los medios para reconocer los buenos y los malos, y cazar los demonios.

Dos años más tarde apareció en Ruán, de la pluma de Noël Taillepied, doctor en teología (1540-1589)


El moderno precursor del espiritismo fue sin duda alguna el sueco Emmanuel Swedenborg (1688-1772), político, filósofo místico, científico, personaje muy erudito, reconocido por su saber, su mérito y su sabiduría, miembro de la Academia Real de Ciencias de Suecia y ennoblecido por la reina Ulrica.

Preocupado por la noción de Dios, la felicidad eterna y los sufrimientos morales del hombre, E. Swedenborg fue un precursor y un visionario en la medida en que intentó descubrir al Creador escrutando la creación. En una época en que la ciencia llamada moderna daba sus primeros pasos, aportó una dosis de racionalismo calificado de científico e impulsó la transición entre una verdad revelada de manera profética desde hacía siglos y un enfoque razonado de realidades filosóficas y científicas.Abrió la vía hacia esta metodología rigurosa de la observación de los hechos y los testimonios que envolvió de manera notable el conjunto de trabajos adelantados por A. Kardec más de un siglo más tarde.
Su búsqueda y su actuación estaban dirigidas hacia la comprensión progresiva de Dios sobre la base de enseñanzas obtenidas por revelación a través de una mediumnidad surgida en 1745.

Lo que recibió por vidência y escritura le permitió establecer una doctrina que encontro ciertas similitudes con el espiritismo: existencia de un mundo invisible o espiritual que está en permanente correspondência con el mundo natural o material, posibilidad de comunicarse con él, unicidad de Dios.

Entre los espíritus que apoyaron a Allan Kardec en el momento del desarrollo de la tercera evelación, E. Swedenborg fue de los que se comunicó con él y hasta respondió numerosas preguntas de su parte (sesiones en septiembre de 1859).

Reconoció además haber cometido grandes errores en la elaboración de su doctrina, tales como el carácter eterno de las penas o el mundo de los ángeles y de los santos. En su descargo, explicó haber tenido que luchar contra más ignorancia y sobre todo más superstición, en una época donde la impronta religiosa era de las más fuertes, pero donde ya se hacía sentir la emancipación traída por los filósofos de las Luces. Si bien Allan Kardec estuvo plenamente consciente de los aspectos refutables de su doctrina, supo reconocer en él las verdaderas cualidades de aquel hombre y su aporte en las bases del naciente espiritismo:

“A pesar de sus errores de sistema, Swedenborg no deja de ser una de las grandes figuras cuyo recuerdo permanecerá unido a la historia del espiritismo, del que fue uno de los primeros y más celosos promotores”.
(La Revue Spirite – Noviembre de 1859)

Poco tiempo antes del comienzo de los trabajos de Kardec en espiritismo, un acontecimiento mayor fue también origen de un considerable número de hechos y experiencias que marcó en un contexto particular el período de definición del espiritismo.

Se trata de la conocidísima historia de las hermanas Fox, Margaret y Katie, que en 1848 percibían golpecitos y ruidos insólitos en la casita familiar de Hydesville, estado de Nueva York, en los Estados Unidos.
Esos fenómenos eran producto del espíritu de un hombre cuyos restos se encontraron debajo del sótano. Era el antiguo arrendatario, un tal Charles Ryan, asesinado por el vecino. Por este suceso, del que por otra parte la historia humana puede conocer miles, el descubrimiento de un medio de comunicación con los espíritus se apoderó de toda Norteamérica y fue el origen de la considerable atracción hacia esa disciplina.

En 1852, tuvo lugar el primer Congreso Espírita en Cleveland.
Esa moda, un tanto superficial, concordaba sin duda alguna con ese siglo ávido de romanticismo donde sus más ilustres representantes, contemporâneos de Allan Kardec, no escondían sus relaciones con aquel espiritismo naciente:

Charles Nodier,
George Sand,
Gérard de Nerval,
Téophile Gautier,
Victor Hugo,
Honoré de Balzac,
Alfred de Vigny,
Alphonse de Lamartine.

Todos estos místicos, estremecidos por los ideales de las Luces canalizados por la Revolución todavía cercana, habían soñado con una religión hermosa, universal, y con una sociedad fraterna en armonía con la naturaleza y con el espíritu.

Y es dentro de ese contexto nutritivo y fértil que llegó Allan Kardec, o más bien Hippolyte-Léon-Denizard Rivail.

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